MA CONCLUSION FINALE...
...SUR LES CONSTRUCTIONS DU PARC OLYMPIQUE
Chers Québécois,
Chers Visiteurs d’où que vous soyez, du Canada, des États-Unis, de la France, de l’Italie, de la Suisse, de la République tchèque et des autres pays,
Merci de visiter mon site.
Merci de vous intéresser à la
Vraie Histoire
des constructions du Parc Olympique de Montréal, Ville Olympique de 1976
et de son Complexe Stade-Mât-Piscines-Vélodrome, des éléments extraordinaires et d’une
audace architecturale qui ne sera jamais égalée, ni surpassée.
Avant de débuter l’écriture de mes textes, après la mort de M. Jean Drapeau en août 1999,
notre Maire de Montréal durant les Jeux, j’ai cru bon de résumer mes propos par ces
deux phrases dans mon texte d’accueil auxquelles je dois en ajouter une troisième
après avoir rapporté le plus fidèlement possible la
Vraie
Histoire de ce fiasco technique et financier uniquement
québécois.
1. FAUT-IL PENDRE LES POLITICIENS DE QUÉBEC ?
2. LE « MAUDIT » ARCHITECTE FRANÇAIS DEHORS.
3. POURQUOI LE STADE SERAIT EXCLUS DE TOUTE ENQUÊTE PUBLIQUE ?
Après avoir mis en ligne 150 textes et bien que je dois en
ajouter plus de 40 autres, dont un Album photos où j’inviterai les
lecteurs à ajouter leurs photos aux miennes à l’adresse
info@stadeolympiquemontreal.ca,
, comment LVLV-Lavalin à titre de mandataire-coordonnateur, d’avril 1974 à la
mi-novembre 1975, a échoué dans son mandat de Directeur de projet
et les fameuses « Prouesses architecturales et de génie »,
Après avoir longuement réfléchi sur mes derniers textes A05 à A10 dans
l’onglet « Accueil » et le blocus systématique des médias envers cette
Vraie
Histoire,
Je me dois de répondre à ces trois questionnements :
1. FAUT-IL PENDRE LES POLITICIENS DE QUÉBEC ?
Québec signifiant le Gouvernement du Québec.
Ma réponse :
OUI.
(Non pas dans le sens de pendaison,
d’exécution, mais dans le sens figuré)
2. LE « MAUDIT » ARCHITECTE FRANÇAIS DEHORS.
Voilà pour moi
l’ERREUR FATALE COMMISE
pour impliquer dès
Avril 1974 notre plus grande firme d’Ingénieurs-conseils
du Québec dans une technique qu’elle n’a jamais maîtrisée et
pour remplacer l’Architecte Roger Taillibert par son Président l’Ingénieur Bernard Lamarre.
3. POURQUOI LE STADE SERAIT EXCLUS DE TOUTE ENQUÊTE PUBLIQUE ?
Tout simplement parce que les vrais responsables de ce fiasco technique et financier sont
Lavalin, le PLQ et
sa RIO et non ceux que la Commission Malouf a cités. La raison pour éviter
une Enquête « C’est un dossier trop vieux, dépassé ».
Il s’était dépensé $ 850 Millions pour les Installations du Parc Olympique
en date des Jeux d’été de 1976, 2 fois trop. De 1976 à novembre 2006 il
s’en est dépensé $ 1,552
Milliards, du pur gaspillage !?!?
Pour moi, une enquête sur tout le dossier du Stade n’est pas une nécessité.
C’est une obligation.
Un dossier toujours d’actualité en 2011 alors qu’un comité conseil se promène
partout au Québec pour trouver de bonnes idées avec comme sujet : Quoi faire
à l’avenir dans ce Parc OLYMPIQUE.
Comme couronnement de notre bêtise, l’affront ultime envers les « maudits » français : Le même chemin pour le 5ième et dernier Toit dirigé par les Ingénieurs de CIMA+ qui n’en savent pas plus dans cette technique que Lavalin.
La Vraie
Vérité triomphera-t-elle un jour ?
Ces manières de mal faire de 1974 à 2011 connues et corrigées, nos gros projets d’aujourd’hui nous coûteraient beaucoup moins cher, des $ milliards de moins.
Quant à chacun de vous, mes textes sur la
Vraie
Vérité vous aideront à conclure.
M. Jean Drapeau, … quant à moi, ce Projet fut votre meilleur de tous.
Le Gouvernement du Québec s’est chargé d’en faire le pire et vous l’a mis sur le dos, un fiasco financier
et sportif, un gaspillage inutile de $2 Milliards
pour avoir exclus les « maudits » français. Je sais que les centaines
de millions d’honoraires sont demeurés au Québec … pour un travail mal fait.
Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 Ã octobre 2006..
Votre tout premier collaborateur.
Ce lundi, Fête des travailleurs, le 6 septembre 2010
Révisé le 25 octobre 2011
M. Jean Drapeau, le chef, je vous laisse les derniers mots … … …
M. Drapeau reconnut publiquement cette faiblesse … …
… … dans une entrevue qu’il accorda à The Montreal Star en fin mars 1976 :
« Les gens disent que je suis dictateur », avec quelques regrets, « mais en fait c’est parce que je n’étais dictateur que tout cela est arrivé. »… « Le jour où la Ville perdit le contrôle, ce fut un jour triste, … a sad day. … »
M. Drapeau fournit des précisions sur quoi il estime ne
pas avoir exercé assez de contrôle :
« En acceptant la suppression du Service des Travaux publics
de la Ville de la gestion de projet, en acceptant de participer
à des audiences publiques fastidieuses à Québec
et de ne pas avoir accordé à M. Taillibert la complète et exclusive
autorité pour la stratégie de la construction dans le stade. »
« Dans l'ancien temps, les Ingénieurs n’existaient pas et
ils ont construit les Pyramides, le Colisée, le Sphinx et
les grandes Cathédrales d'Europe. M. Taillibert est
le genre d'Architecte qui construit ses Å“uvres et les
Techniciens travaillent sous lui ! « Il était évident
qu'il en connaissait mille fois plus que tout Constructeur
ou Ingénieur au Québec.»
Ces textes furent publiés le 1er avril 1976.
Pour voir le texte complet à l’intérieur duquel M. Drapeau reconnut cette faiblesse,
cliquez ici.