Le Stade Olympique de Montréal
FAUT-IL PENDRE LES POLITICIENS DE QUÉBEC ?
LE « MAUDIT » ARCHITECTE FRANÇAIS DEHORS
Bienvenue sur mon site où vous apprendrez « La Vraie Vérité sur le Stade Olympique »
de la bouche du seul Québécois, qui fut un
témoin privilégié depuis la mi-mars 1971. Le Parc Olympique et son complexe
Stade-Mât-Piscines-Vélodrome et ses deux
stations de Métro furent sans contredit le meilleur projet de M. Drapeau,
même si on véhicule le contraire. Il était économique ; la RIO a rendu son coût
astronomique. Montréal voulait en faire un parc de sports, la RIO l’a détruit.
Au diable, la volonté de Montréal. Les proches avant tout ! C’était notre symbole.
Il l’est encore, mais vide et pas fini ! Il était notre point de mire ;
plusieurs québécois veulent le détruire. Ils ne savent pas la vérité, ils
ont été manipulés. Je suis là pour vous rappeler, parce que nous oublions tout,
sauf de payer. Et ses premières mondiales de génie, en avez-vous déjÃ
entendu parler en 30 ans ? Moi, non. C’en est rendu un fiasco.
4 Toits déjà et … en route pour un 5ième, de l’entêtement et de la gestion discutable. Comment un
si beau projet a-t-il pu dérailler à ce point ? La Ville de Montréal
n’en veut pas. C’est la faute à M. Drapeau qui n’est plus là depuis 1975 ?
Un fiasco technique et financier ? À vous de juger.
L’organisation des Jeux Olympiques de 1976 par le COJO se démarqua des Jeux
précédents au point qu’elle sert de modèle à toutes les villes qui les
organisent depuis Montréal. Je m’appliquerai sur ce site à révéler la
Vraie Vérité relative aux Installations centrales de ces Jeux, celles du Parc Olympique.
J’essaie de couvrir le plus complètement possible les aspects de ce dossier.
Deux sujets majeurs ressortent à première vue et
demeurent la préoccupation de plus d’un québécois. 1. Qu’a-t-on fait du Parc des Sports
de M. Drapeau où furent tenu les Jeux de 1976 et qu’en ferons-nous, la préoccupation
actuelle du comité-conseil mis sur pied en juin 2011 – 35 ANNÉES APRÈS LA TENUE DES JEUX ?
2. Qu’est-ce qui ne marche pas avec le Toit du Stade, reprise 1, reprise 2, reprise 3,
reprise 4, quatre Toits inappropriés à cause de l’omniprésence et l’impuissance de nos
Ingénieurs québécois et … depuis septembre 2010 reprise 5 ?
Dans ce dossier, moi j’ai honte. Et vous ? Bonne lecture.
Ingénieur Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
POURQUOI UN SITE INTERNET SUR LE STADE OLYMPIQUE DE MONTRÉAL ?
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Je vous répondrai « par devoir » et pour trouver des solutions. Les impuissants en place cherchent
toujours un Toit pour le Stade depuis 2004 (ce sera le 5ième!).
Je n’ai pas le droit de rester muet.
Si Paris a sa Tour Eiffel, Sydney son Opéra, Rome son Colisée, Moscou son Kremlin, Athènes son Parthénon,
Montréal a aussi son symbole
« le Stade Olympique et son Mât ».
Le voici … … coiffé du Toit Taillibert, le seul approprié et le seul qui a vraiment
marché en dépit des erreurs de conception de Socodec-Lavalin.
Au cours des années, vous avez entendu des journalistes, des québécois dire :-
Cessons de mettre de l’argent dans ce Stade et démolissons-le.
Oui, j’ai bien entendu « Démolissons le symbole de Montréal », de la bouche d’ancien politicien provincial,
de Québécois et de journalistes qui en font une risée. Même la Ville de Montréal n’en veut pas ! Doit-on
investir dans le Sport ? Lisez la réponse dans le journal des débats de l’assemblée nationale Ã
Québec du 22 novembre 2007 sur l’adoption du projet de loi n° 34 de la 38e législature, aux pages 5 à 11.
Ne cherchez plus ce texte sur internet à l’adresse:
http://www.assnat.qc.ca/fra/38legislature1/Débats/journal/ch/071122.html,
il a été déplacé. … Une coïncidence ( ! ) … après que j’en eus parlé sur mon site !
Jamais un politicien n’osera démolir notre symbole. Le Gouvernement du Québec de par les agissements
de sa R.I.O., serait-il le grand responsable de ce fiasco ? Pour moi, la réponse est évidente. À vous de juger.
LE PARC DES SPORTS EST MORT !
Saviez-vous que Montréal le
planifiait depuis 1912. Il aurait fêté ses 100 ans. 1912, 1934, 1954,
1970 et le 6 avril 1972, dates mémorables de sa conception et sa mise en chantier.
La Presse du 6 février 1999
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Maquette du Stade Olympique, 1954
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La R.I.O. l’a tué. Elle n’a pas respecté la volonté de Montréal. Elle a chassé du Parc
l’Athlétisme et les cyclistes. Elle n’a pas su garder nos Expos et nos Alouettes. Les championnats
de natation de 2005 n’ont pas été tenus dans les bassins olympiques. Elle a laissé construire une
Cité du Cinéma, des chemins asphaltés avec autobus et vendu une grande superficie Ã
l’Impact pour son terrain de soccer, détruisant ainsi la piste d’athlétisme
de 400m pour l’entraînement des athlètes lors de Jeux. Un sondage du 6 février 1999 révélait que
56% des Québécois avaient peur de mettre les pieds au Stade.
LE MEILLEUR PROJET DE M. DRAPEAU
Le Parc Olympique, « Le Parc des Sports »
était pour moi de loin son meilleur projet.
Il concrétisait ce que Montréal planifiait depuis 1912 ! À l’ouest du Parc, les
Sports professionnels, baseball, football et autres, et les manifestations grandioses
ou internationales. À l’est, place aux sports amateurs, à la jeunesse et aux Universités.
Un Complexe architectural « symbole de Montréal » avec son Mât et ses premières mondiales
de génie. Un Stade digne des ligues majeures, Montréal en avait pris l’engagement face
aux Expos (baseball) et aux Alouettes (football canadien). Un Stade gratuit et des
installations payés par les revenus générés par les Jeux, facilement accessibles par deux
stations de métro. Voilà son meilleur projet
« Le Parc Olympique » de M. Jean Drapeau
avec des surplus de revenus sur les
dépenses qui paieraient pour d’autres parcs dans la Ville.
LE 4ième TOIT DU STADE OLYMPIQUE DEVAIT ÊTRE UN TOIT D’ACIER, MAIS …HEUREUSEMENT…
Invraisemblable. Un Toit si unique architecturalement et techniquement devenu
« Le Toit du tripotage ».
36 ans après les Jeux, il n’est toujours pas réglé.
Le 4ième essai – Le Toit d’acier et fixe de
SNC-Lavalin, une pure folie architecturale et technique - déjà $200 Millions
gaspillés et plus du double à venir si la RIO s’entête à tenir les « maudits français »
hors du dossier (son mot d’ordre actuel et depuis toujours). Il était d’acier, trop pesant.
La structure actuelle du Stade n’aurait pu le porter, trop coûteux, pas du tout approprié
à la capacité portante de sa structure, donc inadéquat.
Pourquoi la R.I.O. fait toujours appel aux mêmes personnes ? Certains y sont depuis avril 1974 !
Serait-ce de l’entêtement, des connaissances, je ne sais pas. Un appel d’offres questionnable ?
Sur un fond d’apparence de conflits d’intérêts ? Appel d’offres dénoncé publiquement par plusieurs.
Ne croyez-vous pas qu’à cause de son caractère unique
et de ses résultats décevants, la R.I.O. devrait explorer la vraie voie, le chemin sécuritaire
qu’elle aurait dû prendre dès 1976, sans partisanneries, nous faisant économiser des
centaines de $ millions.
Pour connaître mes recommandations,
cliquez ici,
Pour voir la lettre envoyé au Premier Ministre du Québec cliquez ici et
Pour le texte M. ROGER TAILLIBERT, L’ARCHITECTE ….. DEBOUT,cliquez ici.
COÛT TOTAL DU PARC OLYMPIQUE
Croyez-le ou non. Lorsque la dette fut toute remboursée en 2006 (30 ans et 2 mois plus
tard), la R.I.O avait dépensé $2,402 Milliards alors qu’en 1972 Montréal avait budgété
$180 Millions pour le Parc Olympique, excluant le Viaduc de la rue Sherbrooke. Pour Ottawa, notre budget des Installations
était correct et pour Québec, nous en avions trop mis. Le résultat
R.I.O. conclut à une dépense de 13,34 fois plus que la prévision, sans le prochain Toit.
Les travaux d’Après-Jeux de la RIO (de 1976 à 2006) ont coûté 11,3 fois plus que ses propres
prévisions ($1,552 Milliards vs $137 Millions),
pour plus de détails, cliquez ici.
Les revenus du tabac plus qu’il n’en faut.
- De 1976 à 2006, seriez-vous surpris d’apprendre
que les fumeurs ont payé environ
$6,25 Milliards, dont $2,342 Milliards a servi à rembourser la dette et le
parachèvement du Stade ? La différence de $3,91 Milliards a dû être dirigée
vers d’autres ministères et non aux projets olympiques, sinon il n’y aurait
plus eu de dette dans les années 1980 et Québec aurait dû remettre le Parc
à Montréal. Les fumeurs paient encore … pour le sport,
pour plus d'informations, cliquez ici.
LA PIÈTRE PERFORMANCE DE LA R.I.O.
Pour quelles raisons ? En voici quelques-unes.
Vu le travail gigantesque qu’exige la réponse et mon engagement envers M. Drapeau lors
de sa mort, je complèterai ce site au fur et à mesure.
Des raisons.- La R.I.O. en a fait un projet
politique, faisant appel aux mêmes Ingénieurs, aux gens qu’elle connaît et que la
politique connaît. --- Elle a gaspillé $200 Millions sur des Toits inappropriés.
--- Elle n’a jamais fait appel à l’Architecte et à ses Ingénieurs qui ont fait les calculs, plans
et devis de ce projet en 1974 et 1975. --- Elle a dépensé inutilement en
donnant mandats d’études par-dessus mandats, mandats de vérification de mandats.
--- Elle a fait appel à des supposés experts internationaux qui n’ont rien Ã
voir avec les subtilités de ce Projet. --- Elle a bafoué les règles d’éthiques
professionnelles d’architecture en permettant à des Architectes d’ici de signer
des plans pour modifier l’œuvre Taillibert. --- Elle s’est mise à l’abri des
critiques, en imputant la responsabilité de leur fiasco à M. Drapeau et au « maudit »
français Taillibert. Quelle habilité ! Quelle tromperie ! --- La R.I.O. aurait dû
mieux expliquer cette Å“uvre unique et avant-gardiste.
La chaise musicale.- Saviez-vous
que plus de soixante-dix (70) personnes, Ministres, Présidents, Directeurs
ou Membres du C.A. ont passé à la R.I.O. ? C’est le jeu de la vraie chaise
musicale. Ce n’est pas moi, c’est celui avant moi. « Merci à la R.I.O. … de
disparaître », pour plus d'informations, cliquez ici.
La Vraie Vérité.-
Pour Québec et Ottawa, M. Drapeau ne devait pas réussir.
Québec l’a chassé et Ottawa a retardé pour passer les lois d’autofinancement.
Ils ont réussi eux ! Que les Québécois se rappellent ce vendredi saint d’avril
1974 et novembre 1975. [ Québec devenait « maître à bord »].
LES 3 PIONNIERS RESPONSABLES DES MAUVAISES ACTIONS DE LA R.I.O.
Cliquez sur la photo pour agrandir
Le 21 septembre 1991, le journal La Presse présentait cette photo en page A2 pour le dossier du Stade.
« Le 6 juillet 1972, ces trois hommes dévoilaient la
maquette des futures installations olympiques au cours d’une conférence de presse
qui fit le tour du monde. Tous les trois chassés du dossier en 1975, messieurs
Jean Drapeau, Claude Phaneuf et Roger Taillibert servent aujourd’hui d’écran au
gaspillage post-olympique. » Texte au bas de la photo.
Que font les ministres de la R.I.O. dans ce dossier ?
L’arme qui a tué le projet ? L’équipe technique du Vélodrome tassée
dès avril 1974 ? La fameuse technique française de construction ?
Des textes cruciaux, traités dans ce site et plusieurs autres à venir.
Bien que plus de 40 textes seront ajoutés, voici
Ma conclusion finale, cliquez ici.
Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 Ã octobre 2006.
Mai 2010. Révisé Février 2012.