La Vraie Vérité sur le Stade Olympique de Montreal
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LE DERNIER TOIT, POINT FINAL.

LE TOIT DU STADE OLYMPIQUE RONGÉ PAR UN CANCER POLITIQUE

Un jour avant qu’il ne soit trop tard, les Québécois comprendront le cancer qui ronge notre Stade Olympique depuis le 12 avril 1974 et qui est au fond le véritable problème du Toit …

« Les politiciens du Gouvernement du Québec » et

« Certaines grosses firmes (presque toujours la même)
qui veulent mordicus se faire un nom en s’appropriant la paternité du Toit qui revient à son Concepteur, à PERSONNES D’AUTRES ».

Le seul Toit approprié à la conception et aux calculs du Stade et de son Mât, le plus fiable, le plus spectaculaire et surtout le plus économique de tous, une économie de plus de $100 Millions, demeure le Toit léger et rétractable original de M. Taillibert que nos politiciens de Québec ont toujours sciemment ignoré, plus particulièrement du Parti Libéral du Québec. Gallimard Loisirs publiait en octobre 2008 « LES PROUESSES DU 20e SIÈCLE - Notre Histoire lue du ciel », dans lequel nous retrouvons notre « Stade Olympique coiffé du Toit Drapeau/Taillibert » au même titre que la Tour Eiffel.

Les plans et devis d’abord. L’Appel d’offres ensuite.

Un tel Ensemble sportif construit selon la technique Freyssinet en béton précontraint et post contraint se devait d’être décrit, spécifié, calculé, avec plans, devis et méthode de construction UNIQUEMENT par l’Architecte concepteur, ses Architectes et Ingénieurs en plein contrôle des subtilités de cette technique pour passer à l’étape suivante le choix d’une Entreprise pour construire ce qui est spécifié, soit par un Appel d’offres public (comme pour la structure du Vélodrome), soit par désignation.

La RIO appuyée par son Ministre du tourisme procède à l’envers en cherchant un messie, une trouvaille qui lui proposerait un Toit n’importe lequel, mais qui doit pouvoir s’ouvrir pour demeurer un Stade Olympique apte à tenir des compétitions internationales. Quel entêtement ! Quelle fausse avenue … encore ! Ce sera le 5ième Toit, faut le faire.

Si la RIO et Québec ont toujours pris le mauvais chemin jusqu’à maintenant en ignorant l’Architecte, le vrai concepteur du Toit et si la RIO et Québec ont toujours procédé à l’inverse du déroulement normal d’un tel projet, c’est par choix, par favoritisme, par xénophobie, par l’entêtement de nos 15 Ministres de la RIO et du Gouvernement du Québec qui choisirent parce que mal renseignés notre plus importante firme d’Ingénieurs au Québec qui a déjà failli avec 2 Toits en 1987 et 2010. Ou serait-ce parce que les politiciens avaient encore faim, comme me le déclarait le Président de la compagnie qui contrôlait les portes d’entrées du Parc Olympique.

Le Stade ne pouvait pas supporter l’énormité du Toit SNC-Lavalin. Il n’a pas été conçu pour une telle folie. Le Toit Delaney/Dessau avec ses 2 gigantesques portes de garage (chacune grande comme 1,5 terrain de football canadien) n’a jamais été réalisé quelque part dans le monde et le Toit Aérolande est temporaire.

Le Toit du Stade rongé par le cancer politique

L’empêchement majeur du seul Toit approprié, le Toit Taillibert, n’est pas de nature technique puisque toutes ses contraintes sont connues et maîtrisées par l’équipe Taillibert. Le voilà le cancer qui ronge le Toit du Stade « Nos politiciens du Gouvernement du Québec » qui se sont placés dans un cul-de-sac.

Après avoir chassé l’Architecte dès AVRIL 1974 pour y faire entrer LVLV-Lavalin, après avoir ignoré M Taillibert durant 34 ans (lui qui était pourtant la seule avenue possible), après avoir littéralement gaspillé près de $200 Millions avec des Toits inadéquats issus de nos Ingénieurs « forts », dont $3,5 Millions dans le dernier Appel d’offres, comment ces politiciens peuvent-ils faire marche arrière ? Ce serait se condamner eux-mêmes qui ont ordonné l’enlèvement du Toit Socodec-Lavalin alors que Lavalin aurait dû le réparer et corriger ses erreurs plutôt que le jeter à la poubelle de même que ses $88,5 Millions des $147,42 Millions payés.

Que dire du faux anneau de compression du Toit ou du Mât qui s’enfonce dans le roc ou des déficients appuis néoprènes des pattes avant du Mât qui ont été qualifiés d’erreurs par le plus grand Ingénieur français spécialiste en béton précontraint et post contraint André Mogaray ou par l’Ingénieur Jean Roret, des sujets erronés encore véhiculés aujourd’hui par un certain Architecte qui fut chargé le 17 janvier 1977 du fameux « Rapport Marsan ».

Les journalistes jouent un rôle important dans cette saga. Plusieurs véhiculent des faussetés parce qu’ils ont cru le discours qui mettait à l’abri des reproches la RIO et nos politiciens pour leur honteux gaspillage financier et le meurtre du Parc des Sports de M. Drapeau. Prenons l’exemple de la grève de 6 mois (mai à octobre 1975) qui n’a pas eue lieu. 800 voussoirs des consoles furent installés durant cette période et la base du Mât fut décintrée. Voyez mon texte « Les vraies raisons de la création de la RIO » dans « La Construction - K32 ». J’invite les Québécois à travailler à rectifier l’Histoire.

Que nos journalistes cessent d’accuser l’Architecte français comme responsable de notre fiasco alors que les vrais coupables sont bien ici, des Québécois, nos Ingénieurs forts et des politiciens du Gouvernement du Québec.

Qu’un « Jean Drapeau » 2010 se lève ! --- M. Jean Charest pourrait l’être !

Jean Drapeau, 1916 - 1999
Jean Drapeau, 1916 - 1999
Jean Charest
Jean Charest

M. Jean Charest ne dirigeait pas le Parti Libéral du Québec qui avait faim en 1975 et qui dépensa $2 Milliards de trop de 1976 à 2003 après avoir chassé Mes Drapeau et Taillibert. M. Charest dirige ce Parti Libéral depuis 2003 seulement. M. Charest pourrait être « le Jean Drapeau 2010 » que je cherche, et ce, rapidement avant que la « vieille gang libérale du début de ce projet » ait sa tête. Voyez ce texte Qu’un «Jean Drapeau 2010» se lève ! Pour voir ce texte, cliquez ici.

Je me permets de rêver que notre Premier Ministre, M Jean Charest y verra clair, qu’il sonnera la fin de la récréation, … de l’humiliation et qu’il rappellera son Concepteur pour le plus grand bien de notre Complexe sportif où son Mât est devenu « le Symbole de Montréal ».

Et vous, en rêvez-vous ?

Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 à octobre 2006..
Ce 30 septembre 2010. Révisé 27 novembre 2010.




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