LE MANQUE DE COURAGE DE NOS POLITICIENS.
QU’UN « JEAN DRAPEAU 2010 » SE LÈVE !
En 2010, nos « grands projets » déçoivent plus d’un Québécois,
si ce n’est pas de les choquer carrément. Mille et une études
se succèdent avant d’en arriver au projet à réaliser. Le coût
annoncé est établi par nos grosses firmes … « pesantes », et
ce, avant que le Monsieur responsable des contrats du type PPP
n’y mette son grain de sel. Prévisions réalistes, crédibles ?
Pas vraiment. Lorsque l’annonce officielle arrive, les coûts
ont doublé, triplé, … parce que nous avions oublié un petit
quelque chose, parce que les partis politiques doivent demeurer
en santé, parce que les prix augmentent. Toutes les raisons
sont bonnes et … nous payons sans maugréer.
Ceux qui fournissent les coûts à prévoir connaissent « tous les trucs ».
Vous en trouvez plusieurs dans mon site à l’onglet « La Construction »,
des trucs datant de 1975 (!), trucs encore plus habiles aujourd’hui,
après 35 années à patauger dans des projets aussi gros. Dès leurs
premières prévisions, ces responsables savent d’avance qu’il y aura
des troubles ouvriers bien orchestrés, des contrôles inadéquats, des
surplus de matériaux payés, des heures de temps supplémentaires payées
à temps double ou triple et des relations de travail difficiles qui
justifieront tous les abus tolérés.
Pourquoi en est-il ainsi ?
Parce que le boss (le Maître d’ouvrage) ne s’appelle pas « JEAN DRAPEAU ».
Pourquoi aujourd’hui devons-nous chercher le « Jean Drapeau 2010 » ?
Parce qu’il faut que les yeux fermés et les oreilles bouchées
de nos politiciens s’ouvrent. Parce que nous avons besoin de
politiciens forts et non à la solde de ces grosses boîtes sur
lesquelles ils s’appuient, comme s’il fallait toujours les croire.
L’Histoire des constructions du Parc Olympique qui s’étend sur 38
années et 6 mois (de mars 1971 à septembre 2010) est
l’exemple parfait de ce que je veux livrer comme message, …
de ce que je souhaite corriger, car rien n’a vraiment changé
depuis 1974 sur les gros chantiers.
Aujourd’hui, c’est « mieux organisé, mieux caché » … avec des résultats guère meilleurs, sinon pires.
Je cherche « Un Jean Drapeau 2010 » …
… Qui se lèverait pour replacer les tromperies qui se traduisent
par une énorme machine à dépenser.
Beaucoup de ficelles doivent être coupées, car tout se tient ensemble.
Les prophètes de malheur (problèmes sismiques), les Experts, les grosses
firmes d’Ingénieurs-conseils, les Ingénieurs polytechniciens font
leurs déclarations … qui finiront par nous coûter des $ Milliards
que les grosses firmes dépenseront un jour.
Tout fait partie
intégrante de l’empire à faire disparaître.
Je cherche « Un Jean Drapeau 2010 » qui agirait selon les principes rigoureux qui le guidèrent lorsqu’il mit Montréal sur la carte du monde. Voici les pré-requis, les siens, ses qualités que les Historiens déforment dans leurs écrits, se fiant uniquement aux racontars de ceux qui ont déformé la Vraie Histoire ou qui ont empochés de gros $ Millions.
« Le Jean Drapeau 1971 » que j’ai connu
Avant d’annoncer un Projet marquant, M. Drapeau y réfléchit,
se renseigne, questionne ceux qui l’approchent, façonne son
dossier, le parfait. Il élabore son contenu. Il ne reste
pas dans son bureau en attendant le rapport des gros connaisseurs,
des manipulateurs. Il participe aux avant-projets.
Il exige des prévisions budgétaires élaborées dans les
détails et avant de les remettre, j’ai dû les vérifier
auprès d’experts reconnus dans ces techniques.
M. Drapeau 1971 fait les choses en grand avec une vision
d’avenir unique que personne n’aura eu avant lui, ni après lui.
Magnanime, son plan d’autofinancement sans laisser de dettes à ses citoyens
Jean Drapeau, 1916 - 1999
Cliquez sur la photo pour agrandir
Jean Drapeau, 1916 - 1999
Cliquez sur la photo pour agrandir
Pour ce faire, M. Drapeau y verra lui-même. Il en contrôlera les coûts,
d’où ses visites fréquentes/continuelles (à mes bureaux ou sur le site),
ses téléphones (même qu’un certain dimanche soir, il me téléphona à 23h
pour savoir ma prévision du coût de la soumission que nous recevions le
lendemain !). Il ne tolérait aucuns manques de contrôle durant les
travaux. À tous les matins, parfois le soir aussi, il faisait le
tour de son Projet. Demandez aux travailleurs qui lui serraient la
main à tous les jours, matin et soir. M. Drapeau savait ce qui se
passait sur le chantier. Pour les troubles ouvriers que Québec ne
régla jamais malgré nos nombreux avis, combien d’astuces M. Drapeau
utilisa pour motiver les travailleurs
dont une brochure à leurs intentions ? (Rendez-vous Montréal 1976)
>
Est-ce que la vraie raison de l’immobilisme de
Québec était « Parce que Québec avait faim », comme me le déclara
le chef de la compagnie qui contrôlait les portes d’entrées du
chantier ? (Voyez mon texte : Québec avait faim,
cliquez ici
.
Homme de culture, M. Drapeau chérissait ses nombreuses
conversations avec M. Taillibert et ses Å“uvres et toutes autres
formes d’art. Lorsque nous parlions de béton précontraint
ou de béton post contraint, M. Drapeau en connaissait autant
que moi et il savait où regarder lorsqu’il visitait nos travaux
de construction du Toit du Vélodrome. En début 1974, il rageait
de voir que le Stade tardait à sortir du sol à cause d’une firme
qui fit de mauvais plans, firme « fortement recommandée » à M.
Drapeau par Québec.
Voilà « le Jean Drapeau 2010 » que je souhaite voir se lever
Non pas des politiciens qui se laissent leurrer par de gros noms.
Non pas des politiciens qui s’appuient sur des rapports truqués
ou purement erronés (comme les faux rapports sur la longévité
de la durée de vie de la toile de kevlar, ou les fausses
déficiences des appuis néoprènes des pattes avant du Mât
dénoncées par l’Ingénieur André Mogaray, ou l’erreur de
l’anneau de compression conçu par Socodec-Lavalin dans
son premier Toit et dénoncé par l’Ingénieur Jean Roret).
Non,
je cherche « Un honnête Jean Drapeau 2010 »,
libre de toutes attaches, qui n’a à cœur que le bien-être de nous
Québécois, non pas de garder en santé nos grosses boîtes
d’Ingénieurs-conseils bien organisées.
L’Appel d’offres en cours
Le premier problème du Toit et le seul, c’est
« Le manque de courage de nos politiciens qui ont peur de faire marche arrière ».
C’est tellement évident que les 3 Toits voltigeant
dans les plafonds de la RIO ne sont pas appropriés,
même dangereux, et beaucoup trop dispendieux, …
… Que nos politiciens n’auront jamais le courage
de choisir le seul Vrai Toit possible, le moins dispendieux,
le Toit du futur dans les Stades, un Toit léger moderne …
sinon ce serait affirmer que Lavalin les a trompés en
refusant de réparer son Toit Socodec 1987 comme M. Taillibert
le recommandait ($88,5 Millions des $147,42 Millions à la poubelle pour rien)
et nos politiciens se condamneraient eux–mêmes puisqu’ils
ont toujours refusé le Toit Taillibert.
Nous faisions équipe ensembles
Cliquez sur la photo pour agrandir
Que dire de l’Appel d’offres en cours qui dure depuis 6 ans et
Appel d’offres « confortablement assis » sur l’apparence de
conflits d’intérêts de l’Ingénieur « Gérant de cet Appel »,
dénoncé par les deux personnes qui ont présenté des propositions
de Toits inadéquats le 27 août dernier ? Le « Jean Drapeau 1971 »
n’aurait jamais accepté un tel Appel et il aurait foutu à la
porte les égarés. M. Drapeau aurait demandé à M. Taillibert
et aux Ingénieurs originaux de faire les plans, devis et
méthode de construction du Toit original Taillibert,
« Le Toit du futur dans les grands Stades », le plus fiable,
le seul possible pour cette structure, le plus spectaculaire,
et surtout le plus économique, plus de $100 à 200 Millions de
moins que tout ce que la RIO manipule présentement,
pour ensuite demander à une Entreprise de le construire.
Voir mon texte « Quoi faire avec le Toit du Stade ? »
Qui de nos Politiciens se lèvera debout ? Qui sera « Le Jean Drapeau 2010 » ?
Pour moi, M. Jean Charest pourrait être « notre Jean Drapeau 2010 ».
Il n’était pas le chef du Parti Libéral du Québec qui avait faim
en 1975 et qui dépensa $2 Milliards de trop de 1976 à 2003 après
avoir chassé Mes Drapeau et Taillibert. M. Charest dirige ce
Parti Libéral depuis 2003 seulement.
Alors M. Charest, c’est le temps de vous lever.
Vous avez la vraie solution au bout des doigts, la seule.
Sortez la vadrouille, … tant à la RIO que chez nos Députés et Ministres responsables de la RIO !
Pourquoi ne seriez-vous pas « ce Jean Drapeau 2010 » ?
Les Québécois vous en seront reconnaissants.
Ce n’est pas la première fois que je vous écris.
Cette fois, considérez sérieusement mes propos.
Exigez que votre RIO répare rapidement les voussoirs de tête
fissurés avant d’avoir sur la conscience une tragédie.
Respectueusement, je ne suis que la voix de « M. Jean Drapeau 1971 » qui vous interpelle.
Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 Ã octobre 2006..
Ce 10 septembre 2010. Révisé Octobre 2010.
Invitation toute spéciale
Québécois, Vous avez payé pour ces « tromperies », bientôt $3 Milliards,
une honte québécoise. Vous voulez savoir comment les hommes forts
s’y prennent et vous visitez mon site internet où vous y trouvez la
Vraie réponse, la seule Vraie Vérité.
Pour que toutes vos connaissances en profitent, en bons sportifs,
« Faites le voyager, faites la vague »
avec l’adresse www.stadeolympiquemontreal.ca,
le fichier « La Vraie Vérité sur le Stade Olympique de Montréal, je vous le jure ».
Surveillez bien mes prochains textes.
Quoi faire avec notre Toit du Stade ? Le Toit du futur.
Un Toit léger moderne - Le plus fiable – Le seul faisable – Le plus spectaculaire – Le plus économique.