Dossier : La « corruption » sort ses $$
Millions et le PLQ ses messages publicitaires.
Série : Le vrai visage de M. Jean Charest et de son PLQ.
On fête en « gang ».
Ne me brusquez pas.
Vous m’avez eu.
Arrêtez Duchesneau.
Je vous ai bien eus.
Hypocrisie Québécoise.
Article #3- LE TOIT DE LA CORRUPTION
… EN APPEL D’OFFRES DEPUIS 10 ANS !!
Un dossier pourri à la sauce libérale « à enquêter ».
Avant que des faussetés ne s’enracinent dans l’Histoire
et que nous soyons encore trompés avec cet Appel d’offres, comme ce fut le cas depuis les Jeux de 1976 jusqu’à aujourd’hui, j’ai le devoir de rapporter fidèlement son déroulement d‘août 2002 à ce jour.
Un record toutes catégories.- En Appel d’offres
depuis août 2002, le prochain Toit s’il voit le jour (?) serait terminé
12 ans après son annonce et M. Taillibert qui a 2 Stades
en construction et terminé une Tour de 300 mètres à Doha au Qatar aura 88 ans !
Vous voyez le jeu de nos Québécois corrompus ?
Pourquoi ?- Parce que la « famille libérale » de M. Charest ne veut pas demander les plans et devis à son concepteur l’Architecte Taillibert, mais s’organise plutôt avec ses amiiiiis Ingénieurs qui ont prouvé leur incompétence dans ce type de Toit. Les règles d’éthiques relatives à la conception architecturale n’existent pas dans notre Québec corrompu et M. Charest se dit l’ami de la France.
Lorsque je dis « Taillibert », je dis des plans de génie signés pas les Ingénieurs rattachés à son bureau et non les nôtres qui ont prouvé leurs incapacités d’où leurs projets farfelus et très coûteux.
Oui « « Mon Québec » », nous sommes et demeurerons un petit peuple.
Il se fait tard mes amis ! Déjà $200 Millions ont été gaspillés dans 4 Toits
REJETÉS PARCE QU’INADÉQUATS alors
qu’il était près à être construit dès 1976 à un coût
de $28 Millions.
Encore « embarqué » dans la même galère, la même insulte.
Quels Québécois ? Quels médias parlés ou écrits sont dérangés parce qu’en début 2011 M.
Charest et sa troupe ont mis en place leur Équipe (RIO +
Conseil d’administration RIO + CIMA+
+ Delaney ou Dessau qui tournent autour) pour nous embarquer dans la même galère que celle qui nous a menés à l’abandon du Toit d’acier de SNC-Lavalin abandonné en septembre 2010 suite aux dénonciations que j’ai faites et aux plaintes de Messieurs Pierre Jutras d’Aérolande et de François Delaney ?
Le Toit Taillibert – objet de convoitise de nos Ingénieurs.
L’Architecte Taillibert, le « maudit français » s’est surpassé en concevant pour nous des Installations sportives spectaculaires et avant-gardistes pour les Jeux Olympiques de 1976 et pour l’Après Jeux.
Architecture avancée, premières de génie faisant appel à des techniques de construction maîtrisées par l’Équipe Taillibert à des coûts très économiques … jusqu’à ce que nos bons Québécois corrompus (du PLQ et je signe) n’y mettent les pieds, tout y était pour une grande œuvre patrimoniale.
Le Toit rétractable Taillibert, l’élément le plus spectaculaire à devoir exister sur
la scène internationale, a fait l’objet de
convoitise par nos Ingénieurs même s’il n’y avait que M. Taillibert qui a construit
et construisait de tels Toits dans le monde. Alors en bons Québécois,
nos politiciens du Parti Libéral du Québec l’ont foutu à la porte pied au derrière le 12
avril 1974 1) pour ne jamais lui demander en 40 ans de
terminer son Å“uvre en nous donnant les plans et devis de son Toit et surtout 2)
POUR VOIR À CE QU’IL N’Y REMETTE PLUS LES PIEDS PAR LA SUITE !!! La consigne fut et est bien respectée.
Qu’en 2012 nous en soyons rendus à tergiverser sur le prochain 5ième Toit relève du délire, voire de la corruption professionnelle et de la corruption politique. Même les gens de Radio-Canada « Émission Découverte » se font complice de ces tripotages.
Pourtant il y a unanimité.
Le rapport de la Ville de Montréal (novembre 2011) et celui du Comité de Mme Bissonnette sur l’avenir du Parc Olympique (décembre 2011) concluent que le Stade Olympique doit être coiffé du Toit original conçu – Le Toit Taillibert.
À cause du pain et du beurre, et du désir d’en
prendre la paternité, il n’y a qu’à la RIO, au PLQ, chez
les collecteurs de fonds proches – proches de M. Charest et par intérêt chez nos
Ingénieurs-conseils véreux que l’on étudie, piétine et prépare l’abominable, un 5ième Toit fou, une insulte au créateur de cette œuvre d’art.
Que s’est-il passé au juste dans cette aberration ? Combien de $ Millions y a-t-on engloutis ? Voilà l’occasion de faire le ménage et principalement d’y voir juste. Les choses ne peuvent pas en rester là . Et M. Taillibert m’a confirmé qu’il ne laissera pas les brigands envahir son œuvre. Ils en ont assez fait.
L’Histoire de tous les temps retiendra quoi ?
1) Le Stade Taillibert construit avec les plans signés Taillibert
2) Coiffé actuellement par le Toit Birdair (le 4ième) construit avec des plans signés par un Architecte inconnu que la RIO a tu le nom
3) Suspendu au Mât Socodec-Lavalin construit avec des plans signés par un Architecte dont la RIO tait le nom depuis 1985 ?
Un concepteur – Trois Architectes ???
3 éléments de cette œuvre d’art et 3 Architectes différents qui signent des plans,
l’Architecte Taillibert
(c’est selon les règles d’éthique et c’est SON œuvre)
et 2 Architectes qui se sont prostitués « architecturalement parlant » dont
la RIO cache les noms TELLEMENT C’EST HONTEUX !
« On ne laisse pas terminer une œuvre de Picasso par un peintre en bâtiment. »
Voici cette Vraie Histoire tripotée de notre Toit du Stade Olympique.
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Le Stade sans Toit et une partie du Mât
Juillet 1976
À la fin des Jeux de 1976, le Toit rétractable Taillibert n’était pas en place et une infime partie du Mât construit. C’était voulu ainsi par la bande de M. Robert Bourassa alors Chef du Parti Libéral du Québec.
Le 15 novembre 1976, les Québécois élisent un nouveau
Parti - le PQ - et chassent du pouvoir le PLQ de M. Robert Bourassa, les tripoteux qui ont mis en danger la tenue des Jeux de 1976.
Dès novembre 1976 le PQ veut connaître le pourquoi des
coûts aussi élevés et des Installations non finies. Le 13 juillet
1977 le gouvernement Lévesque crée la Commission Malouf qui dépose son rapport
le 5 juin 1980 avec des conclusions que je ne partage pas et que
j’explique dans cet article,
cliquez ici.
De 1977 à 1982 les milliers d’études de génie commencent
avec les amiiiiis et les autres au lieu de faire appel au concepteur et aux
Ingénieurs qui travaillent avec lui. Rapports, comité d’études, SEBJ, toute une
parade sans réelles conclusions. Tous s’enlisent. Le 2 juillet
1981 l’Angleterre rit un peu de nous et met en doute la fameuse technique de
construction de l’Ingénieur Eugène Freyssinet. Dès janvier 1982
la France insultée nous rappelle à l’ordre et produit deux rapports pour nous dire
quoi faire et détaille pour nous les solutions aux problèmes que nous avons nous-mêmes
créés. Nous n’écoutons pas et en 1984 l’homme fort arrive pour sauver l’honneur de la RIO, l’Ingénieur Bernard Lamarre et sa compagnie Socodec-Lavalin créée de toutes pièces par Lavalin … qui craignait de faire faillite avec ce projet … ce qui arriva en 1991.
Le 15 mars 1985 le PQ signe un bon contrat à cette filiale de
la maison mère de Lavalin sur la base d’ignorer le concepteur
Taillibert. Un 1er Architecte signe des plans « bâtards architecturalement
parlant » et n’est pas rappelé à l’ordre par son Ordre des Architectes du Québec.
Nous l’appelons « Le Toit Taillibert version mal
modifiée par Lavalin et rempli d’erreurs ».
Le 2 décembre 1985, le PLQ revient au pouvoir à Québec.
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Levée de la toile – Avril 1987
Le 17 novembre 1986, un des moments mémorables fut la levée de
la poutre caisson de 380 tonnes chapeautant la niche d’entreposage du toit rétractable.
Le 3 février 1987 le Mât se termine. Du 11
au 18 avril 1987, la toile de Kevlar de 18 600 mètres carrés est hissée à sa place.
Son installation ne sera achevée qu’après la saison de baseball 1987.
Le 21 novembre 1987, l’observatoire et le funiculaire sont
inaugurés. Avant Noël 1987, Socodec présente une 1ère facture
d’extras de $18 Millions « au contrat clefs en main ». Le
20 avril 1988, le Stade est couvert et 49 000 spectateurs assistent à la partie
d’ouverture des Expos. À l’été 1988, Socodec installe
« 16 monticules » pour soulever la toile qui frottait deux fois par manœuvre d’ouverture
sur l’anneau technique, d’où de l’usure prématurée. À la mi-janvier
1989, Socodec présente une 2ième facture d’extras de $24,5 Millions
au contrat clefs en main pour un total de $42,5 Millions.
Le 23 juin 1989, le Toit est mobile. On l’ouvrira et fermera plus de 80 fois !
Février et avril 1991, Socodec avait reçu $147,42
Millions incluant $29 Millions d’extras des $42,5 Millions demandés.
C’était pourtant un contrat clefs en main. Lavalin fit faillite quand même. Ce 1er Toit est une version mal modifiée du Toit Taillibert, comportant des erreurs corrigeables que Lavalin refusera de corriger.
Le 27 juin 1991 en plein été (!)
le vent (plutôt la quincaillerie de support) déchire la toile de kevlar sur une longueur de
120 mètres. Septembre 1991, troubles financiers chez Socodec,
le PLQ règle ce dossier financier de façon façon questionnable, l’objet de mon texte sur le
Règlement financier de ce Toit Socodec-Lavalin intitulé « Le Stade de la
démesure ».
Cliquez ici.
Un gaspillage pour ce Toit seul de $88,5 Millions des $147,42 payés. Il faut l’enlever,
dixit la RIO, les Ingénieurs et les Experts qui ne savent
vraiment pas de quoi ils parlent. En 1991 SNC achète Lavalin et refuse d’inclure dans l’achat
le contrat du Toit Socodec-Lavalin ? Le 10 avril 1992 la RIO annonce que le Toit Socodec devra être remplacé. Des supposés Experts de ce type de Toit sont consultés à nouveau.
J’étais présent à la conférence de presse que la RIO convoqua le 10 avril
1992 pour annoncer que le toit Socodec devait être remplacé à court terme, parce que
la toile « était fatiguée » de ses déchirures, selon les dires des Ingénieurs de Socodec.
Bizarre - la pochette de presse de la RIO ne mentionnait pas ce que M. Pierre Bibeau, alors
PDG, affirma d’entrée de jeu : «Aujourd’hui, nous vous annonçons que
la toiture mobile du Stade devra être remplacée par une toiture fixe. Lorsque
nous avons demandé à Socodec de construire cette toiture, nous lui avons
demandé de faire une impossibilité. Alors, c’est normal qu’il n’ait pas été capable
de le faire ». Et voilà , l’absolution de la faute
était donnée à la RIO par elle-même et à Socodec.
En avril 1992 le même PLQ préconise maintenant un Toit lourd
fait d’acier. En avril 1993 un contrat est donné à Dominion
Bridge/SimardBeaudry/CanamManac 17 mois avant les élections de 1994
sans faire appel encore une fois à l’Architecte concepteur.
Le 13 avril 1993, M. Taillibert remet une Lettre au Premier Ministre Robert Bourassa sur la « Réhabilitation du Toit mobile » (Socodec-Lavalin) et sa consternation d’un Toit fixe d’acier, le Toit Dominion Bridge.
Pour lire cette lettre,
cliquez ici
.
Le 17 septembre 1994, M. Taillibert remet à M. le Maire de Montréal, Jean Drapeau, une Note technique de son polytechnicien et élève d’Eugène Freyssinet - l’Ingénieur Louis Billotey – s’offrant à réaliser les études pour réhabiliter le Toit Socodec-Lavalin à des coûts très raisonnables parce qu’il n’était pas nécessaire de le remplacer complètement, mais plutôt de le corriger, ce que Lavalin refusa.
Pour lire cette note,
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.
Le PQ maintenant au pouvoir depuis septembre 1994 consulte M.
Taillibert et renonce en 1995 à ce projet fou parce qu’il
suffisait qu’un vérin hydraulique que l’on projetait installé au bout des consoles
bloque pour foutre par terre toute la toiture. De toute façon je ne sais pas quel
rêveur a cru que le Stade tel que conçu pouvait supporter de telles charges.
Un gaspillage de $ 16 Ã 18 Millions.
Le mandat de la Commission Charbonneau débute ici (15 ans en arrière).
Créée par décret …………………………
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le 19 octobre 2011
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Moins ……………………………………………
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15 ans
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Date effective ………………………………
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Du 19 octobre 1996 au 19 octobre 2011
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À partir du 19 octobre 1996, tous les faits qui suivent peuvent et doivent faire partie de ce mandat.
En septembre 1996, la RIO (PQ récemment élu) demande à deux
consortiums, SNC-Lavalin/Nicolet, Chartrand, Knoll et
Birdair/RSW/Nadeau, de lui soumettre un projet de
toit fixe et souple (moins pesant que celui d’acier qui venait d’être annulé), afin que de coiffer le Stade dès la fin de 1998, à un coût maximum de $35 Millions. Le PQ voulant prendre ses distances avec Lavalin refuse toutes propositions venant de Lavalin, maintenant associé à l’Ingénieur Roger Nicolet du bureau Nicolet, Chartrant, Knoll (NCK).
En juillet 1997 le PQ donne le contrat du 3ième Toit à Birdair,
ignorant encore une fois l’Architecte concepteur, seul capable de réaliser son Toit. Coût : $37 Millions.
Contredisant les avis des Ingénieurs consultés, la toile de kevlar –
la toile Taillibert a tenu encore 7 ans une fois les correctifs apportés. Son
démantèlement débuta le 6 avril 1998. L’Ingénieur Gustave
Jolicoeur, affirmait dans Le Devoir du 24 janvier 1999 « Que
les déchirures avaient eu lieu seulement en été ». Pourtant, combien de fois ai-je entendu que s’il y avait déchirures, c’est que l’Architecte Taillibert ne connaissait pas nos hivers canadiens. L’Architecte français avait déjà construit des projets en montagne à Chamonix entre autres où le climat est passablement plus rigoureux qu’ici.
Le 6 avril 1998 débute la descente du Toit Socodec-Lavalin.
Le 1er juillet 1998, M. Taillibert écrit au PDG de la
RIO – M. André Tétrault – dénonçant la toiture « incongrue » et fixe que la RIO
se préparait à installer sur le Stade, la toiture Birdair.
Pour lire cette lettre,
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.
Le 1er juillet 1998, M. Taillibert télécopie une
Note technique de son Ingénieur Louis Billotey soulignant avec le Toit Birdair –
le Stade de Montréal perdra aussitôt le pouvoir d’attraction dont il jouit
aujourd’hui – et – le manque de courage de la RIO d’accepter la reprise de
la toiture dans les mains du groupe Taillibert–TAAA qui est en mesure de
remettre les choses en ordre, avec une couverture vraiment mobile, stable
et fiable, en peu de temps et à peu de frais. … Et le Toit aurait été réglé
définitivement il y a 12 ans ! Refusé également.
Pour lire cette note,
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.
À l’automne 1998, M. Taillibert télécopie une Note
technique de M. Billotey à l’effet que la toile de Kevlar/Tovlar avait
encore toutes ses caractéristiques mécaniques et les éléments principaux
qui devraient guider les prochaines études qu’offrait de réaliser l’équipe
Taillibert avec des Québécois. Sourdes oreilles.
Pour lire cette note,
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.
En novembre 1998 en installant la membrane de téflon de Birdair des ouvriers doivent s’attacher pour ne pas passer au travers !
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Le Toit Birdair déchire - 18 janvier 1999
Le 18 janvier 1999 le Toit Birdair déchire sous le poids de la
neige. (Photo ci-contre) Tout de suite en conférence de presse, je suis présent et
renversé des réponses à mes questions : Le poids de la toile et sa résistance ?
L’Ingénieur de la RIO ne le savait pas … après avoir négocié le contrat !
5 jours plus tard (23 janvier 1999) la RIO se défend d’avoir acheté une toile de moindre qualité.
Le 18 octobre 2001 – Birdair clame : « Ce
n’est pas de ma faute ». La RIO aurait acheté une toile de moindre qualité.
Le 14 décembre 2001 – RIO poursuite de $63 Millions. Le 21 mars
2002 – Débat à l’Assemblée Nationale – Nouveau Toit, Coût : $50 Millions.
Le Toit Birdair un gaspillage de $37 Millions.
Puisque ce Toit est inadéquat, il faut le remplacer. Ce remplacement fait l’objet de l’Appel d’offres présentement en cours en septembre 2012 qui a débuté en août 2002.
L’Appel d’offres tripoté pour un 4ième et 5ième Toit qui dure depuis 10 ans.
Ici débute cette Histoire d’un Appel d’offres corrompu … à la sauce libérale (PLQ) qui dure toujours en septembre 2012 et où rien n’est réglé.
Le 21 mars 2002, en Commission parlementaire à Québec, les députés arrachent au PQ le coût projeté d’un nouveau Toit pour le Stade $ 50 Millions.
Le 17 avril 2002, en Commission parlementaire à Québec les députés parlent, parlent, jasent, jasent de remplacer la toile et s’il y a des études sur le « faisable ou non ». On prépare le terrain pour dépenser.
En mi-juillet 2002, 2 ans avant le 1er Appel d’offres d’août
2004, j’annonce, lors de ma conférence au Club Kiwanis St-Laurent «
que le futur Toit sera construit par SNC-Lavalin et Nicolet, Chartrand, Knoll (NCK) » et … je ne me suis pas trompé !
Août 2002, le PQ de par sa RIO mandate, à titre de Gérant de projet, un de ses anciens candidats défait lors d’une élection complémentaire en 1993, l’Ingénieur Roger Nicolet, présidents de GCI et de la firme de génie conseil Chartrant/Nicolet/Knoll (NCK) pour préparer « soigneusement » les documents pour une « « Demande de manifestation d’intérêt » ».
Le 13 février 2003, Birdair compte présenter un nouveau Toit.
Le 14 avril 2003, le gouvernement de M. Jean Charest –
le PLQ - revient au pouvoir.
Le 11 août 2004, un 1er Appel d’offres est lancé. Déception. Un candidat (Aérolande) a présenté un projet et n’a pas seulement fait part d’une intention.
Le 12 janvier 2005, L’Appel d’août 2004 annulé, un deuxième
Appel d’offres est lancé avec des spécifications subtilement modifiées. Le
23 février 2005, quatre Entreprises y répondent dont deux sont retenues
Janin-Atlas et SNC-Lavalin. Janin-Atlas se retire et SNC-Lavalin demeure seul en piste au grand désespoir de Pierre Jutras d’Aérolande écarté du 1er Appel d’offres et du 2ième, mais au grand plaisir de la RIO qui le souhaitait ainsi.
En 2007, SNC-Lavalin dépose une soumission comprenant un prix. Selon le libellé de cet Appel d’offres, SNC-Lavalin avait reçu $150 000 pour son intérêt manifesté en 1ère étape auxquels s’ajoutaient $350 000 pour développer son concept en 2ième étape. La RIO n’a jamais montré au public québécois cette soumission et ce projet de SNC-Lavalin, lequel public était en droit de la voir puisqu’elle aurait déjà payé $500 000 à cette firme jusque là .
Débutent ici une impossibilité et d’autres magouilles ?
$50 Millions : Coût annoncé en Commission parlementaire le 21 mars 2002 et SNC-Lavalin qui
arrive avec un Toit trop lourd où il faut renforcer Mât et consoles pour des coûts de $300
à $400 Millions (voir le paragraphe plus loin – Année 2009.
Comment vendre une telle folie au gouvernement qui hésite et aux Québécois ?
De 2007 à juin 2010, la RIO tente en vain à plusieurs reprises d’obtenir du Gouvernement du Québec l’autorisation de confier ce contrat à SNC-Lavalin (le Lavalin de LVLV-mandataire-coordonnateur en 1974 et 1975, et le Lavalin du Toit Socodec-Lavalin de 1987).
Les menteries de Pierre Bibeau.
En août 2008, Pierre Bibeau, ex-Président et ancien Directeur de la RIO, lançait en l’air des menteries -- accusant la Ville et sa planification à long terme qu’il qualifiait de mauvaise, ajoutant que M. Taillibert était le responsable des problèmes avec « Nos Expos » parce qu’il ne connaissait pas le baseball. Voir l’article de Jean-François Cloutier d’août 2008 dans La Presse « D’inévitables lendemains de veille ».
En début décembre 2008, je corrige ces fausses accusations en
remettant une Lettre et 6 Annexes à M. Jean
Charest, Mme Pauline Marois et M. Mario Dumont où je dénonce les agissements
partisans de la RIO et l’aspect dangereux du Toit SNC-Lavalin. M. Charest (mis au
courant de ces magouilles, de l’apparence de conflits d’intérêts du Gérant de projet,
de l’aspect dangereux du Toit d’acier dans la mire de sa RIO et de la destruction par
sa RIO du Parc des Sports) commence à douter du bien-fondé et du coût élevé de ce Toit,
tout comme certains de ses Ministres. Pour voir ces textes,
cliquez ici.
L’année 2009.- Alors que tout allait gaiement dans le meilleur des mondes, la RIO peu soucieuse des plaintes de la Compagnie Aérolande (qui a soumissionné en 2004 et 2005) se servait des journaux pour annoncer son intention ferme de recourir à SNC-Lavalin. M. André Gourd président de la RIO « sort public » et exprime son intention de construire le Toit SNC-Lavalin en cachant le coût de ces travaux ($300 à $400 Millions) dans des réparations, faisant même allusion aux réparations ou rénovations du Stade de Vancouver comme des dépenses normales et justifiables. Québec ne bouge pas. Le Conseil des Ministres évite de mettre ce sujet à l’ordre du jour et fait la sourde oreille aux demandes de la RIO. Pour moi … tant mieux pour le Stade et pour nous.
En octobre 2009, M. Yves Boisvert de La Presse décrit un Toit de l’inventeur M. Delaney avec croquis à l’appui sur 2 pages complètes. M. Delaney n’avait pas répondu aux Appels d’offres de la RIO.
Pierre Jutras d’Aérolande se plaint officiellement.
Le 22 mars 2010, Pierre Jutras d’Aérolande remettait à Mme la
Ministre de la RIO Nicole Ménard une plainte formelle écrite
relative au déroulement plus que questionnable et aux dessous irréguliers de cet Appel
d’offres,
cliquez ici voir ce document
. Cette plainte était accompagné de son manifeste (de 15 pages)
publié en date du 14 octobre 2007,
cliquez ici pour voir ce manifeste
. La RIO et le Gouvernement du Québec (le PLQ) « ont un œil au
beurre noir » et une patate chaude dans les mains.
La goutte qui fait déborder le vase.
Le 26 juin 2010, Yves Boisvert récidive avec son article « Il faut tuer le Toit fixe ». M. Delaney montre à nouveau son Toit qui a 6 pattes et non 4 comme en octobre 2009 et où il faut percer tous les planchers pour descendre au sol les piliers supports de ce Toit ce que M. Taillibert n’acceptera jamais.
La RIO et le PLQ sont coincés.
Le 28 juin 2010, 2 jours après l’article de M. Boisvert,
la RIO et Québec, coincés entre la plainte officielle
d’Aérolande et M. Delaney, doivent « fermer le bec » rapidement à ces 2 plaignards.
La trouvaille : Un Avis d’intention formel émis par la RIO d’obtenir l’autorisation
d’octroyer le contrat à SNC-Lavalin à moins que … (???) quelqu’un veuille soumettre
un projet crédible. « Qu’il se manifeste avant la date butoir du
27 août 2010 », a dit la RIO.
Août 2010, les médias d’information spéculent sur le futur Toit.
Les articles et les entrevues se succèdent. Questionné par des journalistes, je réponds
qu’« Il ne se passera rien le 28 août 2010. La RIO recevra sa bouée de sauvetage, clouera le bec aux criards et évitera de devoir expliquer sur la place publique l’apparence flagrante de conflit d’intérêts et les tripotages de cet Appel d’offres. Un autre Appel d’offres sera sans doute lancé toujours dans le cadre de celui demandé en août 2004 ». C’est fait toujours … à la sauce libérale corrompue. Il faut voir comment ?
Une bouée de sauvetage pour la RIO.
Le 20 août 2010, Entrevue d’Isabelle Maréchal – Roger Taillibert :
« Un Toit fixe pour le Stade Olympique – Qu’en pense son Architecte et le Parc Olympique
le grand garde-manger des partis politiques ».
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 25 août 2010, Entrevue d’Isabelle Maréchal – Claude Phaneuf :
« Pourquoi un Toit fixe n’est pas une bonne idée ? »
Cliquez ici pour l’entendre : partie 1.
Cliquez ici pour l’entendre: partie 2.
Le 26 août 2010, Entrevue de Michel Langevin/Gabriel Grégoire –
Claude Phaneuf : « Un Toit fixe sur le Stade, c’est impensable ».
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 26 août 2010, Texte d’Any Guillemette :
« Un Toit rigide n’a pas de sens ».
Cliquez ici pour ce texte.
Le 26 août 2010, Entrevue de René Pothier/Sirius – Claude Phaneuf :
« C’est juste un jeu ».
Cliquez ici pour l’entendre : partie 1
Cliquez ici pour l’entendre: partie 2
Cliquez ici pour l’entendre : partie 3
Le 28 août 2010, précédé de plusieurs entrevues à la
radio de Radio-Canada, 98.5 FM,
CKAC Sports, Radio satellite
Sirius où j’expose les vraies raisons de ne pas construire ce Toit d’acier, SNC-Lavalin ne fait plus cavalier seul. Le consortium EllisDon/Dessau qui a acheté les brevets de l’inventeur M. Delaney soumet le projet qui circule dans les journaux depuis octobre 2009.
Rapidement la RIO saisit cette bouée de sauvetage et Me Nica Gingras, avocate de la RIO
s’empresse de dire « Soumission recevable ». Une absence remarquée, M. Delaney, très visible publiquement depuis un an, n’est pas là cette fois pour présenter sa proposition, mais son projet y est.
Le 8 septembre 2010, Entrevue d’Isabelle Maréchal – Claude Phaneuf :
« Mes recommandations pour le Toit du Stade ».
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 22 septembre 2010, Entrevue de Michel/Langevin/Gabriel Grégoire
– Claude Phaneuf : « Les politiciens sont le nœud du problème du Toit ».
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 22 septembre 2010, Entrevue d’Isabelle Maréchal – Claude Phaneuf :
« La RIO lance un nouvel Appel d’offres pour remplacer le Toit du Stade ».
Cliquez ici pour l’entendre.
Pourquoi toutes ces entrevues ? Parce qu’elles ont forcées la RIO à reculer … pour une fois !
UN APARTÉ POUR LEUR RENDRE HOMMAGE.
Grâce à ces journalistes nous avons pu arrêter le Toit fou et dangereux de SNC-Lavalin, une première fois que le PLQ disait NON à Lavalin, son grand amiiiii. C’était le 4ième Toit !
MES MERCIS à « Vous les braves » de la presse parlée … …
À Marie-France Abastado (Dimanche Magazine «Radio Canada»
de Marie-France Bélanger) … …
… … pour l’entrevue du 25 juillet 2010.
Pour l’écouter,
cliquez ici.
À Isabelle Maréchal (Isabelle le matin - 98.5 FM)
et Normand Gemme, son recherchiste … …
… …pour les entrevues des 25 août
(
partie #1
et
partie #2)
et
8 septembre 2010.
À Charles-André Marchand (CKAC), le planificateur … …
… … au flair aiguisé qui a bien planifié les entrevues qui suivent à CKAC Sports.
À Michel Langevin et Gabriel Grégoire (Sports du lit) … …
… … pour les émissions des
26 août
et
22 septembre 2010.
À René Pothier - C’est juste un jeu (Radio satellite Sirius) … …
… … pour l’entrevue du 26 août 2010.
partie #1,
partie #2,
partie #3.
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Marie-France Abastado
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Isabelle Maréchal
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Charles-André Marchand
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Michel Langevin
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Gabriel Grégoire
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René Pothier
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Quoiqu’on en dise ( la RIO s’empressera de nier ! ), vous avez bloqué ce Toit dangereux et
cette coûteuse folie technique pour la structure de cet Ensemble
« Stade – Mât – Piscines – Vélodrome ».
Le 21 septembre 2010, la RIO annonce qu’elle rejette
la soumission de SNC-Lavalin parce qu’un nouveau joueur crédible est apparu,
la véritable raison étant de faire taire les 2 criards
(Mes. Delaney et Jutras) » et pour ne pas avoir à justifier
ses agissements plus que questionnables ! « On enterre tout et on recommence » sans avoir à s’expliquer pour cet Appel d’offres qui dure depuis 8 ans en prenant soin de se cacher derrière les exigences d’Infrastructures Québec.
« Nous remettons le compteur à zéro », ajoutera candidement Mme Sylvie Bastien, chargée des Communications pour la RIO. M. André Gourd, le Président, s’absente quelques mois pour raison de maladie. En mai 2011, son contrat (terminé en janvier 2011) n’est pas renouvelé. Qui sera le prochain acteur de la RIO pour faire oublier sa mauvaise gestion ?
Un aparté dans cette chronologie – Le Toit Delaney.
Le Toit Delaney et ses mystères. En octobre 2009, le Toit a 4 pattes au sol qui traversent le Toit permanent du Stade et tous les planchers. En septembre 2010, il en a 6 ? Ce Toit n’a jamais été expérimenté, avec une mécanique complexe et gigantesque vu l’ampleur d’une seule des deux coupoles (grande comme 1½ terrains de football canadien !) qui oblige de percer le Toit fixe et tous les planchers jusque dans le sol ce que rejette avec force l’Architecte Taillibert qui ne veut pas voir son œuvre amputée.
Pour voir ce texte « Le Toit Delaney/Dessau – Sauveur de la RIO cliquez ici.
(Texte à venir)
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La Presse – 13 octobre 2009.
Solution à 4 pattes
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Journal de Montréal – 28 septembre 2010.
Solution à 6 pattes
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Un nouvel Appel d’offres – le 3ième.
Le 30 novembre 2010, la dépensière RIO lance un nouvel
Appel d’offres (toujours à l’intérieur de ceux lancés en août 2004
et janvier 2005) pour engager
« un Directeur de projet » avec comme date de réception des soumissions le 11 janvier
2011, parce qu’elle n’a pas les ressources nécessaires
et qu’ « Il y a mille choses à faire pour satisfaire les
exigences d’Infrastructures Québec, qu’il y a une multitude d’étapes
à franchir. Le directeur de projet sera une firme ou un regroupement qui nous
assistera pendant quelques années », dixit Mme Bastien, Directrice des Communications à la RIO. Gaspillages de notre argent et Mme la Ministre de la RIO laissent faire pendant que son gouvernement augmente nos taxes ou pellette les dépenses en avant ! Nos enfants paieront ces folies inutiles.
Le 11 janvier 2011, incognito et sans faire
de bruit, la RIO reçoit ses soumissionnaires où un parmi ceux-ci l’aidera à titre de Directeur de projet.
Le 28 février 2011, la RIO a choisi son compagnon des 5 prochaines
années (?) la firme de génie-conseil CIMA+ pour re
re re re redéfinir quel type de Toit (le 5ième) et les documents d’un autre Appel toujours
dans le même processus d’août 2004. Qu’est-ce que cette firme sait de plus que Lavalin ?
Oui j’oubliais. Une chose, son Vice-Président fut l’organisateur des élections de M. Charest
en 2003 et 2007.
Pour voir mon texte « Une trouvaille de la RIO – Un Directeur de projet »,
cliquez ici.
Pierre Munger et Jean-François Cloutier de l’Agence QMI titrent leurs textes dans le Journal
de Montréal, le 1er « La mise en place du projet continue de
s’étirer » et le 2ième « Trois ans pour réfléchir » … après quoi nous irons en Appel d’offres et nous construirons !!! 5 ans à attendre ! À bonne heure le 1er mars 2011, les gens de Sports du lit (CKAC) me demandent mes commentaires et font les leurs.
Le 1er mars 2011, Entrevue Michel Langevin/Gabriel Grégoire – Claude
Phaneuf : « Le Toit du Stade serait construit en moins de 3 ans ». (j’ai dit 2 ans durant l’entrevue)
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 1er mars 2011, les commentaires de Charles-André Marchand :
« Toit du Stade, Birdair plus efficace au Minnesota qu’à Montréal ».
Cliquez ici pour les entendre.
Le 1er mars 2011, Texte d’Any Guillemette « Un Toit en moins de deux
ans et 70 Millions de dollars pour le Stade Olympique et Pas d’enquête ».
Cliquez ici pour voir ce texte.
Le 6 mai 2011, la RIO crée le comité de Mme Lise Bissonnette sur
L’avenir du Parc Olympique et quel Toit privilégier.
Bizarre quand même d’avoir engagé 3 mois avant CIMA+ pour
préparer des documents d’un nouveau Toit que nous saurons lequel dans 1 an et demi
lorsque Mme Bissonnette présentera son rapport. Ce qui démontre bien des intentions de la RIO
de faire le Toit que la troupe libérale veut en bafouant les règles
d’éthiques et le concepteur.
Le 12 mai 2011, Entrevue Michel Langevin/Gabriel Grégoire – Claude
Phaneuf : « Québec désavoue sa RIO, un Comité-conseil est né » » sans PDG à la RIO ?
Cliquez ici pour l’entendre.
Le 22 juin 2011, la RIO engage un nouveau PDG, le Xième (il y en a trop, je ne me rappelle plus du « ième ») avec entrée en fonction le 4 juillet 2011 … pour marcher au dessus de Mme Bissonnette ?
Le 5 juillet 2011, une heure et demi d’entrevues.
Une première dans le monde journalistique depuis 1976 où M.
Mario Langlois dans son émission « Les gérants d’estrade à CKAC » n’a pas craint de parcourir
avec moi toute l’Histoire du Stade depuis les tous débuts
jusqu’à ce jour de juillet 2011. 6 segments très révélateurs. Surtout surveillez-bien ce
qui arrivera à ces témoins de la Vraie Vérité.
Pour entendre cette émission, cliquez sur chacun des segments:
audio 1,
audio 2,
audio 3,
audio 4,
audio 5,
audio 6.
Le 6 septembre 2011, Quel hasard ou Pourquoi ? Cogeco
(propriétaire de 98,5 FM et CKAC Sports) cloue le bec à ses journalistes de CKAC Sports qui
voyaient clair dans les magouilles du Parc Olympique. Une recherche m’a amené à découvrir
un certain M. Mario Bertrand, ancien chef de cabinet de M. Robert Bourassa (PLQ) sur le
comité des perspectives stratégiques de Cogeco, propriétaire de CKAC qui a dû décider de
ce changement d’orientation. Chanceux que ce « Cogeco » reçoive
$9 Millions en 6 ans de commandites du MTQ de Québec, avec
le PLQ au pouvoir … pour nous parler de circulation. Toujours des drôles de coïncidence avec le PLQ et M. Charest !
À l’été 2011, ce M. Bertrand est Président du festival « Juste pour rire » et devinez qui était son Vice-Président ? Réponse le nouveau PDG engagé par la RIO, M. David Heurtel pour mettre du festif dans le Parc Olympique, mais surtout pour continuer le tripoté Appel d’offres où la RIO a manqué son coup l’année précédente en devant annuler son désir le plus cher et dénoncé dès 2002 « Réaliser le Toit d’acier de SNC-Lavalin » !? Il est fort le PLQ.
Dans le dernier droit, les mêmes galopent et accélèrent.
Novembre 2011, la Ville de Montréal recommande
un Toit rétractable pour le Stade dans son Rapport :
Montréal – Une destination unique à renouveler - et dans son document accompagnant celui-ci.
Le 28 novembre 2011, le Comité-conseil de Mme Lise Bissonnette
sur l’avenir du Parc Olympique remet son Rapport Synthèse de ses consultations au Conseil
d’administration de la RIO SOUHAITANT qu’il ne soit pas tabletté.
Oup ! Je m’excuse et je recommence, SOUHAITANT qu’il soit reçu
comme un Document majeur. Mme Bissonnette sait bien qu’elle a été nommée pour couvrir la décision future pour le Toit de continuer les mêmes magouilles qu’avant sa création et que son patron est bien le PDG M. David Heurtel, le oui-oui du Conseil d’administration qui prendrait ses directives d’en haut ? Des instances du PLQ ? Ou d’un certain ancien PDG de la RIO, collecteur de fonds du PLQ et conseiller spécial de M, Charest ?
La recommandation du Comité est « on ne peut pas plus claire ». En page 78 j’y lis écrit
noir sur blanc : « Un nouveau Toit est nécessaire …
Un toit rétractable, comme l’original,
respecterait le concept et restaurerait l’image publique du Stade et la fierté des Québécois …
Un Toit rétractable est un incontournable … L’ambiance fermée du
Stade est un éteignoir … Un Toit rétractable n’a pas de prix … et
pour finir … Il faut régler la question du Toit et opter pour un Toit rétractable ».
J’ajoute aux textes de Mme Bissonnette « que le Toit rétractable Taillibert soit construit selon des plans et devis produits et signés par les Architectes et Ingénieurs de l’Équipe Taillibert » et non pas nos Ingénieurs d’ici, des incompétents de ce type de machine. Ils l’ont déjà prouvé 4 fois !
Hiver 2011/2012, le compteur des honoraires accumule les mercis de la RIO Ã CIMA+.
Le 13 mars 2012, la RIO recherche un Vice-Président adjoint, projets spéciaux (Toit) pour superviser la mise en chantier du tripotage, le remplacement du Toit du Stade mijoté à la sauce corrompue libérale. Et la RIO qui s’empresse d’ajouter à partir du rapport de son accompagnateur CIMA+ : « Une nouvelle toiture ne veut pas dire que les instances (plutôt la RIO) ont arrêté leur choix quant à la nouvelle toiture à mettre en place sur le Stade. Nous déposerons auprès du gouvernement (du PLQ au PLQ ?) notre dossier, nos recommandations et nos 4 scénarios possibles ». WOW. Quel égarement ? Quelle surdité ? Quel aveuglement ?
Montréal et son propre Comité de Mme Bissonnette leur dictent « Le Toit rétractable
Taillibert ». La RIO et son CIMA+, l’amiiiii de M. Charest en arrivent à 4 scénarios. Il
faut voir lesquels ? Les voici : 1) L’enlèvement complet et
le non-remplacement de la toiture (donc pas de Toit du tout !) ; 2)
La mise en place d’une toile rétractable (ici la RIO a bien utilisé le mot «
toile par
n’importe qui » ; 3) L’installation d’un Toit rigide (Où
étaient-ils ces incompétents qui n’ont pas compris de la bouche de l’Architecte
Taillibert que ce n’est pas possible et qu’il n’accepterait jamais une telle imbécilité !) ;
et 4) Le déploiement d’une toile fixe
(parce que des propositions enfantines leur ont été proposées).
Voilà la table est servie pour les ratoureux qui essaient de vendre leurs farfelus projets et profitent de la complaisance de la « cher » RIO.
Le 26 avril 2012, Mme Kathleen Lévesque du journal Le Devoir mise
au courant de cette action parle à M. Taillibert et titre son article -
La saga du Toit franchit une nouvelle étape – où elle rapporte
: « La RIO et Infrastructure Québec doivent tous deux faire une
recommandation au Conseil des Ministres sur l’option choisie » parmi les 4 scénarios
mentionnés ci-haut … (du PLQ au PLQ). Elle rapporte également les propos virulents de
l’Architecte concepteur qui n’acceptera pas que des magouilleurs, des incompétents
détruisent encore une fois son œuvre.
Le 4 septembre 2012, le PQ de Mme Pauline Marois est élu dans un gouvernement minoritaire.
Le 6 septembre 2012, M. Jean-Louis Fortin écrit dans son texte sur
le gaspillage du projet « Îlot voyageur » : «Cette nouvelle
dépense($80 Millions d’intérêts sur la dette) s’ajoute aux
$300 Millions de fonds publics déjà engloutis dans ce fiasco immobilier de l’Université
du Québec à Montréal (UQAM). Elle a été discrètement autorisée
par un décret gouvernemental Charest adopté le 8 août dernier, alors que la campagne
électorale était bien lancée».
Se pourrait-il que le gouvernement Charest ait agi ainsi en poussant l’insulte jusqu’à avoir approuvé ce rapport qui demande la permission d’aller en Appel d’offres encore une fois pendant que le gouvernement est désert et avant qu’il (le PLQ) soit mis à la porte du pouvoir de décisions ?
Je passe le flambeau à Mme la Juge France Charbonneau.
Cette Histoire rocambolesque d’un Appel d’offres pour le
Toit du Stade est tripotée depuis 10 ans...
... PARCE QUE M. CHAREST ET SON
PLQ REFUSENT OBSTINÉMENT
QUE « NOTRE PICASSO » TERMINE SON CHEF D’ŒUVRE.
La magouille est bien présente dans le Parc Olympique, protégée par des médias complices. La Commission Charbonneau reprend ses audiences dans quelques jours.
Quel dossier révélateur pour elle ? Le dossier de « La corruption
professionnelle – Ingénieurs-conseils amiiiiis et collecteurs de fonds ». Un énorme gaspillage de centaines de millions de dollars.
Et tant qu’à y être « Pourquoi pas tout le dossier du Stade avec son gaspillage de $2 Milliards »?
Voir la suite de cet article – La
Commission Charbonneau doit enquêter le Stade Olympique de
Montréal et son Toit -. (Texte à venir)
Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 Ã octobre 2006.
Ce dimanche 9 septembre 2012
Les articles de cette série sur le vrai visage de M. Charest et de son PLQ :-
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Article #1 : Les « entourloupettes » de M. Charest et de son PLQ
Dans le dossier de M. Jacques Duchesneau.
M. Jacques Duchesneau Bravo. M. Jean Charest Chou.
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Article #2 : Les étudiants et Mme Line Beauchamp
« « de la chair » » à élections.
-
Article #3 : Le Toit de la corruption en Appel d’offres depuis
10 ans en mode machination libérale.
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Article #4 : La Commission Charbonneau doit enquêter le Toit du Stade,
le 5ième Toit, en soumission depuis 10 ans !
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Article #5 : 38ième Anniversaire de la corruption dans le Parc Olympique.
Le Toit du Stade : Impasse au sommet – le PLQ est dans le coup.
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Article #6 : Le rôle des partis politiques dans
l’Histoire du Stade.
-
Article #7 : Beaucoup plus que l’effondrement d’un paralume.
-
Article #8 : L’Amphithéâtre de Québec.
Je vous plains M. Labaume. Bonne chance M. Péladeau.
-
Article #9 : Mon souhait le plus sincère.
Qu’un JEAN DRAPEAU 2012 se lève au Québec !