Dossier : La « corruption » sort ses $$
Millions et le PLQ ses messages publicitaires.
Série : Le vrai visage de M. Jean Charest et de son PLQ.
Article #1- LES ENTOURLOUPETTES DE M.CHAREST ET DE SON PLQ
DANS LE DOSSIER DE M. JACQUES DUCHESNEAU.
M.DUCHESNEAU BRAVO. M. CHAREST CHOU.
Du grand M. Charest - Le Parti
Libéral du Québec sous son vrai jour.
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Je pensais avoir tout vu au cours des derniers 40 ans.
Ici je me suis royalement trompé.
Que de magouilles j’ai vues ! Que de stratagèmes j’ai vécus
dans le dossier du Stade Olympique de Montréal qui n’a d’Olympique
que le nom, la RIO ayant chassé du Parc Olympique l’athlétisme !
Mais l’affaire « Duchesneau » les dépassent toutes.
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Du vrai PLQ à l’œuvre ! Du vrai tripotage libéral !
Pourquoi aucuns journalistes, pourtant des gens compétents
et plusieurs d’entre eux « neutres », ne voient-ils pas clair dans cette histoire
TRÈS RÉVÉLATRICE sur le tripotage, la collusion, la corruption et la tromperie ? Craignent-ils d’écrire ou … ne peuvent-ils pas le faire ? Ils sont mieux placés que quiconque pour faire le lien entre les événements de ce dossier, ce que j’appelle « les NON-DITS ».
Le Journal Le Devoir BRAVO.
Mme Kathleen Lévesque publiait le 18 juin 2012
la chronologie de l’Unité anticollusion du Ministère des
Transports du Québec (UAC) dans le dossier de M. Jacques Duchesneau.
Pour voir cette chronologie,
cliquez ici.
D’une façon très claire, nous retrouvons sur deux pages, tout ce qui s’est
passé officiellement du 23 février 2010 au 13 juin 2012. Mme Lévesque a
réalisé un travail de moine pour nous rapporter aussi fidèlement cette
chronologie à partir des propres données du Ministère des Transports du
Québec à l’adresse
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/352756/chronologie-de-l-unite-anticollusion-du-ministere-des-transports .
Bravo Mme Lévesque.
La chronologie des événements de l’unité anticollusion est très éloquente. Je me fais un devoir de commenter ces « entourloupettes » du Parti Libéral de M. Charest, ces hypocrisies.
Le Stade Olympique, ce jumeau du dossier « Duchesneau ».
Je suis privilégié d’avoir passé plusieurs milliers d’heures à rendre mon témoignage
historique sur ce grandiose projet d’architecture et de génie tant décrié au Québec
– le Stade Olympique, maintenant le SYMBOLE
de Montréal. Ce travail motivant m’a fait découvrir les manières de mal faire, les trucs, les stratagèmes, bref tout ce que M. Charest et son PLQ veulent nous cacher. Incidemment les trouvailles de M. Duchesneau viennent répéter ce que j’ai déjà vécu.
Comparez. C’est du pareil au même.
Des acteurs choyés. En premier lieu « nos chers Ingénieurs ». Qui tirent les ficelles pour que ce soient eux, toujours les mêmes, les amis, de bons cotisants ? En 1973, 1974, 1975, je peux vous dire qui ! Aujourd’hui aussi puisque ce sont les mêmes stratagèmes. Je ne suis pas seul à le penser et à le subir.
Depuis fort longtemps (dans le Parc Olympique depuis 1974), des airs connus pour moi tonnent le favoritisme, la partisannerie et un Parti politique en très bonne santé financière. Fouillez aujourd’hui même le dossier du Toit du Stade. Mêmes magouilles, mêmes résultats.
De l’argent sale ? Combien ? 70%, 65%, 60%, 50% ou 75% ?
Pour moi le pourcentage n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est que
c’est VRAI et que nous nous faisons TROMPER.
VOICI MON ANALYSE DU DOSSIER « DUCHESNEAU ».
Pour faire simple, après avoir répondu à la question :-
Pourquoi M. Charest a créé l’Unité anticollusion
du Ministère des Transports du Québec ?, je reprendrai les dates et les textes des
événements survenus tels que rapportés par Mme Lévesque et j’y
ajouterai mes commentaires personnels (en
bleu) compte tenu de mes trouvailles relatives aux agissements du PLQ dans le Parc Olympique.
Pourquoi M. Jean Charest et son Parti Libéral ont-ils créé l’UAC ?
La réponse est toute simple :-
Parce que le PLQ et le Ministère des Transports du Québec se sont fait prendre comme instigateurs de la collusion et la corruption dans les contrats du MTQ. … Et comme le reste des gros contrats est corrompu « itou », ce n’était qu’une question de temps avant que les réflecteurs soient dirigés vers eux alors que le MTQ se prépare à dépenser $4 Milliards en 2010.
La situation réelle fin 2009 – début 2010.
Ce n’est certes par plaisir et souci d’aider les Québécois que M. Charest et son PLQ
ont patenté cette Enquête sur la collusion dans
les contrats du MTQ. C’est parce qu’ils venaient de se faire prendre par M. Alain
Gravel et Radio-Canada. Les champs visés : La collusion dans les contrats du
MTQ qui se traduisaient par des coûts très élevés et qui rapportaient tant au PLQ,
ses firmes d’Ingénieurs remplissant mal leurs mandats et étant généreuses envers le PLQ
--- COMME AU PARC OLYMPIQUE, le grand garde-manger des partis politiques, dixit M. Taillibert à Mme Isabelle Maréchal en juillet 2010.
Ce qui n’aidait pas M. Charest, le MTQ se préparait à dépenser $4 Milliards dans l’année qui venait et c’est précisément ce Ministère qui était visé pour la collusion dans ses contrats. Le danger était trop grand. Le bien du parti passant avant celui des Québécois, nous verrons comment M. Charest a tassé deux de ses Ministres et a tout fait pour neutraliser M. Duchesneau et le réduire au silence le plus tôt possible. Il l’a plutôt foutu à la porte.
Tout avait commencé innocemment. Dès 2007 et 2008, les médias parlent du contrat des compteurs d’eau de la Ville de Montréal. Des anomalies troublantes sont découvertes et ce contrat octroyé le 10 octobre 2007 fut annulé le 21 septembre 2009. Les acteurs Ingénieurs et Entreprises de ce contrat se retrouvent très souvent dans les contrats du Ministère des Transports de Québec (MTQ). 2009 et début 2010, certains médias ont percé l'armure de la « collusion » et de la « corruption ».
Bravo à Radio-Canada.
Puis surviennent ces émissions de Radio-Canada telles que • Collusion frontale •
Factures à vendre • Génie sous haute surveillance • Stade (Olympique) final •
Mafia et construction • Donnant, donnant • Anguille sous Roche et d'autres.
Les liens de ces émissions sont indiqués à la fin de cet article.
Ces émissions racontent comment les firmes d’Ingénieurs-conseils contribuent largement aux caisses des partis politiques et manipulent « chèrement » les gros contrats. Des journalistes dont M. Alain Gravel avec son émission « Enquête » à Radio-Canada ont cherché et découvert des acteurs impliqués dans la collusion des contrats du MTQ, un ministère dépensant des $Milliards dans des contrats qui apparaissent à l'abri de nos critiques ou de nos « yeux vigilants ».
M. Charest, son PLQ et son MTQ sont coincés. Ce n’est qu’une question de temps avant que le pot aux roses ne devienne public. Il faut inventer une patente à g….. . La voici.
Pour une fois Québécois, montrez que nous ne sommes pas des cruches
et lisez attentivement tout ce texte. Je sais. C’est long 10 pages.
Faites-vous un devoir de connaître à fond les preuves de la corruption que M. Charest nous lance dans la figure … lorsque lui et son PLQ sont pris au piège.
POUR Y VOIR « JUSTE ».
CHRONOLOGIE COMMENTÉE DE L’UNITÉ ANTICOLLUSION
DU MINISTÈRE DES TRANSPORTS DU QUÉBEC.
  
23 février 2010 : nomination de M. Jacques Duchesneau à la tête de l’unité anticollusion (UAC) du MTQ. Aucun rapport n’est demandé. Le sous-ministre du MTQ, Michel Boivin, lui demande de ne faire aucune intervention auprès des médias. « J’entre dans un sous-marin et ferme l’écoutille », décrit M. Duchesneau.
Aucun rapport n’est demandé !! Déjà le MTQ ne
veut que savoir s’il s’est fait prendre avec les magouilles organisées des bureaux d’Ingénieurs (ses amis et cotisants) et ses collecteurs de fonds.
M. Duchesneau doit se rapporter au sous-ministre du Ministre du MTQ, non pas un
fonctionnaire employé permanent du Gouvernement du Québec, mais un type politisé
issu du PLQ. Donc le PLQ saura d’avance
les découvertes de M. Duchesneau et il n’a pas le droit d’en parler Ã
d’autres personnes qu’au Ministre du MTQ. Seul le PLQ
contrôlera ce qui pourra être révélé aux Québécois.
2 mars 2010 : le sous-ministre Boivin présente à M. Duchesneau un affidavit à être joint à son contrat par lequel M. Duchesneau reconnaitrait ne pas avoir été en contact avec le crime organisé. M. Duchesneau refuse de le signer et juge la demande « indigne ».
Un gouvernement et son Ministère engagent un homme reconnu pour
son honnêteté et sa droiture et lui demandent de montrer pattes blanches
avec un affidavit à signer, alors que celui qui est
souillé est le donneur, le PLQ non M. Duchesneau. La suite le démontrera hors de tous doutes.
J’ai écouté le témoignage de M. Duchesneau. Bravo pour sa réponse : « Lorsque tous les membres du Conseil des Ministres du Québec signeront cet affidavit, je le signerai en même temps ».
Comme confiance en une personne que tu choisis toi-même, j’ai déjà vu mieux !
Une clause du contrat prévoit que M. Duchesneau remettra ses rapports à Mme la Ministre Boulet pour que M. Charest puisse bien savoir avant tout le monde jusqu’à quel point, il s’est fait prendre.
Le PLQ l’aura à l’œil et à l’oreille !
12 avril 2010: mise en place de l’équipe d’enquête de l’UAC. Aucune ressource particulière n’est accordée. M. Duchesneau souligne que les enquêteurs n’ont aucuns ordinateurs, ni véhicules pour se rendre sur les chantiers.
Lors de son témoignage, M. Duchesneau a dit : « En commençant nous n’avions aucuns budgets, aucuns bureaux, ni secrétaires, ni d’autos pour que mes enquêteurs se rendent sur les sites de construction. Mon bureau, c’était mon auto où j’avais mon ordinateur ». Bref tout pour que le PLQ lui trouve un bureau …
… Comme le PLQ et sa Régie des Installations Olympiques ont fait
avec Mme Lise Bissonnette du Comité conseil sur l’Avenir du Parc Olympique.
Le PLQ a logé ce comité dans les bureaux de la RIO avec ses lignes téléphoniques,
adresses courriel et bureaux. Les Québécois étaient invités à faire parvenir leurs
suggestions et recommandations au comité par courriel. Un certain Ingénieur qui suit
mon site sur le Stade a soumis trois rapports en novembre et début décembre 2011.
Il reçut des accusés de réception et mentions que chaque membre du comité recevrait
une copie.
En vérifiant après son troisième envoi auprès d’un membre qu’il connaissait
bien, celui-ci lui avoua n’avoir rien reçu !! Cet Ingénieur est formel :
« Ils ont intercepté mes rapports. Les lignes sont sous écoute ».
Ce membre du Comité Bissonnette lui a-t-il dit la vérité ? La RIO l’a nommé sur un comité
pour valider le prochain Toit, le 5ième, une autre magouille
libérale pour exclure encore M, Taillibert de son projet.
Pourquoi pas les vraies questions par les Avocats ?-
Au lieu de s’intéresser au pourcentage de l’argent sale (dixit l’Avocat du PQ) ou
s’il y avait une toilette et une cuisine dans les bureaux de la Ministre d’alors Mme
Julie Boulet (dixit l’Avocat du Procureur Général du Québec), les Avocats auraient pu
demander à M. Duchesneau s’il avait vérifié si ses lignes téléphoniques étaient sous écoute, si ces courriels n’étaient pas interceptés ou des micros n’étaient placés pour connaître ses faits et gestes … comme pour les courriels de Mme Bissonnette au Parc Olympique.
Pourquoi rien sur les découvertes de l’Équipe Duchesneau ? De la vraie
justice qui transforme la
Vraie Vérité en Qui dit vrai ? !
25 mai 2010 : Lors d’une rencontre avec le sous-ministre Boivin, M. Duchesneau a proposé une fois de plus de tout abandonner. L’UAC n’avait aucun moyen, aucun pouvoir et manquait cruellement de ressources. « On était des citoyens qui allaient poser des questions aux gens. … J’étais dans un carcan ». C’était le sous-ministre que gérait le budget de l’UAC !
Six semaines après la mise place de l’UAC, rien de réglé sur les besoins fondamentaux
de cette unité. Il a fallu plusieurs demandes pour obtenir quelque chose.
Du vrai PLQ qui veut limiter les moyens et les dégâts alors qu’il connaît très bien ses propres actes croches.
11 août 2010 : Remaniement ministériel. Julie Boulet est remplacée par Sam Hamad.
Déjà le PLQ anticipe les trouvailles de M. Duchesneau … qu’il a bien l’œil et
possiblement à l’oreille ... comme au Parc Olympique où les enregistrements vidéo pour l’émission d’Alain Gravel du 7 octobre 2010, pris lors d’une entrevue dans les bureaux de la RIO, ont servi rapidement pour répondre à M. Gravel. Voir le communiqué de la RIO qui a réagi très rapidement.
Alors ne prenons pas de chance et nommons un autre Ministre à la tête du MTQ. Le « Je n’étais pas là » sera prêt et Mme Boulet pourra dormir en paix, le PLQ aussi. Le jeu de la chaise musicale revient !
19 août 2010 : M. Duchesneau rencontre le chef de cabinet de M. Hamad, Luc Bastien. La rédaction d’un rapport est évoquée.
Suivons-le bien ce Monsieur Luc Bastien, il fera du chemin.
En fait, c’était le début officiel de la transmission des
magouilles à ceux qui la faisaient.
9 septembre 2010 : la première version
du premier rapport de l’UAC est transmise à Luc Bastien.
À partir du 9 septembre 2010, le PLQ
savait officiellement par écrit ce qu’avait découvert l’équipe Duchesneau.
M. Luc Bastien à qui le rapport - première version - fut remise était le chef de cabinet de M. Hamad, non pas un fonctionnaire mais un type de l’équipe libérale de M. Charest.
Maintenant que nous connaissons les conclusions de M. Duchesneau suite à son
témoignage devant la Commission Charbonneau, nous pouvons affirmer :
« C’ÉTAIT L’ARROSEUR ARROSÉ ». Il faut taire ce rapport. Le PLQ auraient-ils ajouté : « Il faut aviser qui de droit que nous nous sommes fait prendre »? De fait le coût des contrats aurait baissé de 17% selon certains médias !
27 septembre 2010 : M. Duchesneau rencontre Sam Hamad …
... Qui sait déjà les trouvailles de M, Duchesneau et que son parti et ses Ingénieurs amis sont des acteurs « actifs » dans la gestion tripotée du MTQ. Croyez-vous vraiment que son chef de cabinet (Luc Bastien) a tenu le rapport secret jusqu’à cette rencontre entre le 9 et le 27 septembre ? Moi qui ai côtoyé les politiciens, je réponds NON. Sommes-nous vraiment des cruches ?
Octobre 2010 : la rédaction d’un deuxième rapport s’amorce en y intégrant notamment les suggestions de Luc Bastien.
Pourquoi le « politique » s’émisce dans le rapport Duchesneau ? N’ont-ils pas plutôt soulagé ou averti les fautifs, lui-même et ses proches ?
4 novembre 2010 : l’équipe d’enquête s’agrandit.
Bravo, et ce, sept mois après sa création ! Est-ce vraiment pour les bons motifs ?
18 novembre 2010 : M. Duchesneau se retire de ses fonctions le temps que le Directeur général des élections (DGE) fasse enquête concernant des allégations de financement illégal du parti politique municipal dont il a été le chef.
Un période répit pour le PLQ, M. Duchesneau suspend ses recherches, mais son équipe poursuit le travail en son absence.
2 février 2011 : nomination de Luc Bastien à titre de chef de cabinet du Premier Ministre Jean Charest.
Tiens ! Tiens ! Je vous avais dit de suivre sa trace.
M. Luc Bastien arrive avec toute sa connaissance des trouvailles de l’équipe Duchesneau
où le PLQ est pris la main dans le sac.
Le 19 août 2010 M. Bastion discute de la rédaction d’un
rapport avec M. Duchesneau. Le 9 septembre 2010 M.
Bastien reçoit la première version du rapport Duchesneau et son lot d’accusations
qui s’en viennent sur les magouilles de la famille libérale (PLQ). Un mois après
en octobre 2010, M. Duchesneau amorce son deuxième
rapport en y intégrant les suggestions de M. Bastien … suite aux discussions,
analyses et évaluations du PLQ qui voulait éviter ou minimiser les accusations
contre lui et ses amis. Et dire que notre Premier Ministre Charest affirmera
le 16 septembre 2011 « La politique ne mettra pas le nez là -dedans » !
Quelle hypocrisie ? Le 2 février 2011 M. Luc Bastien arrive avec
dans sa valise le portait complet des magouilles libérales. En fait M. Jean Charest se l’est approprié comme Chef de cabinet de son bureau !?!? WOW ! Nous sommes entre bonnes mains !
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À compter du 2 février 2011
M. Charest saura désormais que le PLQ, ses collecteurs de fonds, les
Ingénieurs amis sont pris la main dans le sac. Allez lire plus loin mon commentaire sur l’événement du 16 septembre 2011.
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5 jours plus tard le 7 février 2011, je mettais en ligne sur
mon site du Stade Olympique ce texte qui fut porté à la connaissance de M. Charest
mon K49 –
Pourquoi il n’y aura pas d’enquête publique sur la
construction ? - ce qui fera hésiter M. Charest à créer une Commission d’enquête jusqu’au 19 octobre 2011, tout au moins jusqu’à ce qu’il ait trouvé la manière d’éviter une Enquête sur le Stade ... huit mois de réflexion.
18 février 2011 : le DGE blanchit M. Duchesneau.
La journée même, le gouvernement annonce la création de l’Unité permanente
anticorruption (UPAC).
Depuis le 9 septembre 2010 le PLQ savait qu’il s’était fait prendre.
Depuis le 2 février 2011 c’était rendu aux oreilles du Premier Ministre ! Le 18 février 2011 M. Charest apprend que M. Duchesneau restera à son poste, il est blanchi.
C’en était fait de M. Duchesneau. Il en avait trop découvert sur les magouilles du PLQ.
Ses jours à la tête de l’UAC étaient comptés. Le mot d’ordre de M. Charest et de son PLQ
« IL FAUT L’ARRÊTER AU PLUS VITE. IL VA NOUS DÉTRUIRE ».
Allons-y avec une unité permanente « l’UPAC » (pour que ce soit crédible
– ce sera l’Unité Permanente AntiCorruption (UPAC) et un
gaspillage annuel de $30 Millions) - avec une équipe qui saura bien épargner le « politique ».
Juin 2011 : la première version du deuxième rapport est prête.
M. Charest et son PLQ corrompu veulent-t-il vraiment ce deuxième rapport ? Non … ils en connaissaient déjà les conclusions.
M. Duchesneau sait que ses heures sont comptées puisque l’UPAC débutera
le 6 septembre 2011. Alors il s’empresse de recueillir le plus de
renseignements possibles car il sait qu’il disparaîtra. IL EN A TROP
TROUVÉ sur M. Charest et son PLQ au grand dam de ceux-ci et de notre Premier Ministre.
1er septembre 2011 : M. Duchesneau fait une présentation de son rapport final à Sam Hamad. Une copie du rapport avait déjà été remise une semaine plus tôt au chef de cabinet de M. Hamad, Steve Leblanc.
Ce 1er septembre M. Hamad connaissait déjà tout le contenu
du rapport « ACCABLANT » pour M. Charest et son PLQ, son nouveau chef de cabinet – un homme politisé du parti – l’ayant déjà reçu une semaine plus tôt. Pourquoi être surpris qu’il s’en soit montré indifférent comme l’a bien décrit M. Duchesneau lors de son témoignage devant la Juge Charbonneau ? De l’hypocrisie, du vrai visage du PLQ.
6 septembre 2011 : l’UAC de M. Duchesneau est intégrée à l’UPAC de M. Robert Lafrenière
Fin officielle des émissions pour M. Duchesneau. Son mandat POURTANT
TRÈS UTILE pour enrayer la corruption au sein du gouvernement du Québec lui-même a été stoppé et ses honoraires ne lui seront pas payés en guise de Merci. Avant c’était une Enquête menée pour trouver les vrais responsables de la collusion et corruption. Maintenant ce sera une Enquête « à la méthode libérale ».
7 septembre 2011 : un remaniement ministériel entraîne le départ de Sam Hamad. Pierre Moreau prend la relève.
Serait-ce des faux pas de M. Hamad lors de l’effondrement du paralume de la 720 Est qui
aura eu raison de lui ? Ou comme Mme Boulet, pour ne pas être là pour répondre aux
questions ? A-t-il trop protégé ses amis Ingénieurs CIMA+ - Dessau – SNC-Lavalin,
de bons amiiis de M. Charest ? De toute façon ce n’est pas grave, les Québécois
oublient tout au fur et à mesure. À moins que cette fois-ci
les élections aidant, l’ampleur du désastre nous
redonnera la mémoire.
14 septembre 2011 : Radio-Canada rend public le rapport de Jacques Duchesneau qui l’a coulé parce qu’il dit avoir craint qu’il ne soit tabletté par le Gouvernement. L’onde de choc est immédiate.
M.Duchesneau BRAVO. Attention à ce qu’il a dit.
Lors de son témoignage du 14 juin 2012 à la Commission Charbonneau, M. Duchesneau
a déclaré : « C’est moi qui ai remis une copie à une journaliste.
Elle en avait déjà une copie qui était une version
préliminaire et elle allait diffuser cette information. J’ai effectivement remis une copie […] ». J’en assume la pleine responsabilité. » Pourquoi les journalistes ne rapportent-ils pas cette particularité importante à l’effet qu’elle avait déjà une copie préliminaire?
La corruption nie toujours la vérité lorsqu’elle est découverte.
Elle dit : « Amenez-moi des preuves ».
16 septembre 2011 : Jean Charest tient une conférence de presse au cours de laquelle il affirme ne pas avoir lu le rapport Duchesneau. « Le politique ne mettra pas le nez là -dedans », dit-il.
Québécois, pour le PLQ nous sommes tous des cruches !
Je peux faire un effort pour croire que M. Charest n’a pas lu
le rapport. Mais de là à croire qu’il n’en connaissait pas son contenu alors que
depuis le 2 février 2011 son chef de cabinet était Luc Bastien, un gars de l’équipe
politique du PLQ, le même gars à qui la première version du
rapport de l’UAC avait été transmise le 9 septembre 2010 et qui avait fait des
suggestions à M. Duchesneau pour son deuxième rapport.
Et il faut croire M. Charest alors qu’il affirme : « Le politique ne mettra pas le nez
là dedans ». Le politique n’a pas seulement le nez dedans,
mais le cœur, la tête et tout le reste.
27 septembre 2011 : comparution de Jacques Duchesneau en commission parlementaire.
Tout d’abord à l’émission « Tout le monde en parle » à Radio-Canada le 25 septembre 2011 nous avons un homme honnête, engagé et brillant, puis à Québec en commission parlementaire le 27, M. Duchesneau nous a tout déclinés.
Comme j’ai reconnu ce jumeau de mon site sur la
Vraie Vérité sur le Stade Olympique de Montréal ! Stratagèmes analogues concoctés par
LVLV (Lavalin) sous les yeux approbateurs du PLQ « qui avait faim » m’a avoué le
Président de la compagnie qui contrôlait les « maudites » portes du chantier.
Le lendemain de la commission parlementaire du 27 septembre 2011, je ne fus pas surpris
de la remarque d’un Ingénieur qui suit attentivement mon site et qui m’appela pour me dire :
« C’est vous qui devriez être là à Québec pour répondre aux questions
des parlementaires avec votre site et ses 150 textes ».
19 octobre 2011 : Jean Charest annonce la création
de la Commission d’enquête sur l’octroi et la gestion des
contrats publics dans l’industrie de la construction (CEIC) qui sera présidée par la Juge France Charbonneau. La commission n’a pas de pouvoir de contrainte ni d’immunité.
M. Charest a créé cette commission d’enquête plus de deux ans après la demande de la
Députée Sylvie Roy et exactement huit mois et une semaine
après mon article du 7 février 2011 qui lui fut remis, mon K49.Pourquoi il n’y aura
pas d’enquête publique sur la construction ? Cliquez ici.
Lisez attentivement le mandat de la Commission Charbonneau «
Sur l’octroi et la gestion des contrats publics dans l’industrie de la construction »
et vous réaliserez qu’en bon politicien ratoureux et pogné dans cette corruption
M. Charest a choisi soigneusement les mots pour éviter que le Stade
et ses 5 Toits ne soient enquêtés ! Le 5ième étant en
soumission tripotée DEPUIS 10 ANS par le PLQ, la Commission Charbonneau pourra
l’enquêter puisqu’elle peut retourner jusqu’à 15 ans en arrière. Bravo.
Qu’elle se dépêche, la corruption y est omniprésente et le
piètre rapport des Ingénieurs CIMA+ le grand
ami du PLQ est rendu à Québec dans les mains des Ministres libéraux pour approbation.
28 octobre 2011 : Robert Lafrenière, commissaire de l’UPAC, met fin au contrat de M. Duchesneau.
C’était écrit dans le ciel que le PLQ arrêterait M. Duchesneau d’enquêter. Il
en avait déjà trop découvert sur le PLQ. C’était urgent de le réduire au silence.
L’UPAC fut créé de toutes pièces
le 18 février 2011 par M. Charest pour sortir du trou son PLQ pogné dans ses magouilles.
9 novembre 2011 : la Commission Charbonneau acquiert les pouvoirs en vertu de la Loi sur les commissions d’enquête.
Des pouvoirs enfin ! Après combien de reproches des médias et combien de Québécois
en colère (80%) pour une commission qui s’annonçait bidon, comme la commission
Bastarache pour faire autres choses que découvrir la
Vraie Vérité. Il a fallu que Mme la Juge Charbonneau l’exige
pour que des pouvoirs lui soient donnés !
23 mai 2012 : déclaration d’ouverture de la Juge
France Charbonneau aux audiences publiques. La présidente de la CEIC qualifie le
rapport Duchesneau d’ « incontournable ».
Une forte majorité de Québécois en sont convaincus. Les politiciens savent comment éviter les règles établies. Ils ont de bons bureaux d’Avocats qui cotisent aux partis. Donc tout ce beau monde sait comment contourner les Règles établies.
Québécois préparez-vous la Commission Charbonneau en a long et large à vous révéler. L’automne sera long et chaud pour M. Charest et son PLQ. Il le savait bien lorsqu’il a choisi la date des élections.
13 juin 2012 : début du témoignage de Jacques Duchesneau à la Commission Charbonneau.
Une Commission crédible et nécessaire pour contrer les fautifs, où se trouvent sur le banc des accusés le PLQ et ses amis Ingénieurs-conseils, les collecteurs de fonds, les politiciens dont des Ministres, et d’autres tels les Entreprises et les syndicats pour détourner notre attention des vrais responsables en haut lieu.
Pour les audiences de la Commission Charbonneau c’était le début du combat des toges
noires, le combat de ceux qui veulent transformer la
Vraie Vérité en «
QUI DIT VRAI ? ».
Quelle honte ce fut pour moi que d’assister au contre interrogatoire de M. Duchesneau
par deux Avocats qui essayaient de discréditer M. Duchesneau pour minimiser ses
trouvailles qu’une majorité de Québécois savent
« VRAIES », et ce, lorsque l’on sait que la politique fait en sorte que les Règles soient tripotées, ignorées, subtilement bafouées, l’important étant surtout de ne pas faire prendre ?
Ma conclusion.
1) Créer une Unité d’Enquête
parce que nos magouilles et notre corruption sont découvertes et exposées au grand public.
2) Ne pas donner de moyens aux enquêteurs pour mettre en place
un système de surveillance. 3) Organiser
la transmission des données
aux sous-ministres et ministres du PLQ, des acteurs de ces magouilles en haut de la
pyramide. 4) Changer les sous-ministres
et ministres
pour ne pas être là pour répondre aux accusations. 5)
Créer d’urgence une autre commission (UPAC) plus favorable aux élus du PLQ
et pouvoir neutraliser le chef de l’UAC, la seule unité crédible. 6)
Refuser de créer une commission d’enquête sur la collusion et la corruption au Québec
(CEIC) jusqu’à ce 80% des Québécois le demandent et le crient tout haut.
7) En créer une sans pouvoirs jusqu’à la Juge Charbonneau l’exige.
8) Profiter des bons textes des médias qui craignent ou s’entendent bien avec
la puissante machine libérale pour cacher la vraie corruption. 9)
Engranger les $$$ Millions d’argent sale dans les coffres du PLQ pour
acheter les votes lors d’élection et pour pouvoir payer les trompes l’oeil
qui détournent notre attention des vrais enjeux
« CHASSER LA CORRUPTION DE NOTRE GOUVERNEMENT ,
LA PROVINCE LA PLUS CORROMPUE AU CANADA ».
Après une lecture minutieuse, j’en arrive à cette conclusion :
C’EST VRAIMENT LE PARTI LIBÉRAL
DU QUÉBEC SOUS SON VRAI JOUR.
CELUI DE LA TROMPERIE, DE LA CORRUPTION ET DU FAVORITISME QUI RAPPORTENT.
M. Charest déclarera n’importe quoi pour nous faire croire le contraire comme cette mascarade et ses faux mots qu’il nous dira le plus sérieusement tout vêtu de blanc sur fond de blanc le 17 juin 2011.
« Être Premier Ministre du Québec c’est pas un concours de popularité c’est le moins que l’on puisse dire surtout quand le Québec vit une période de turbulence. Être Premier Ministre du Québec c’est d’abord de travailler dans l’intérêt de tous les Québécois. C’est être capable de prendre des décisions qui sont souvent difficiles mais toujours pour le long terme. En d’autres mots être capable de prendre des décisions qui sont responsables quelles que soient les pressions. Ça ne peut jamais être parfait. Puis on n’a pas réponse à tout. Sauf qu’il faut à chaque fois regarder les choses en face pour prendre les bonnes décisions pour tout le monde et surtout pour la prochaine génération de Québécois. En politique comme dans la vie il faut avoir le courage de ses convictions. J’ai fait le choix de la responsabilité. Je sais que c’est le bon. ».
Voilà pour ses paroles … alors que ses actes
prouvent le contraire. À vous de juger !
M. JACQUES DUCHESNEAU
BRAVO………………………….
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M. JEAN CHAREST
CHOU………………..
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Si les collecteurs de fonds du PLQ avaient moins d’importance auprès du Premier Ministre, les Ministres de l’Éducation et de la Santé auraient plus d’argent pour nous donner de meilleurs services.
Claude Phaneuf, B.A., B.Sc.A.
Un des trois pionniers concepteurs du Parc Olympique et du Stade.
Membre de l'OIQ de 1962 Ã octobre 2006.
Ce vendredi 17 août 2012
Les découvertes d’Alain Gravel à Radio-Canada.
Voici les liens des émissions d’Enquête de Radio-Canada que le PLQ veut nous faire oublier avec son Plan Nord et les chaudrons que brandissaient Mme Marois et surtout le Pourquoi de la création de commissions que M. Charest ne voulait pas.
Les articles de cette série sur le vrai visage de M. Charest et de son PLQ :-
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Article #1 : Les « entourloupettes » de M. Charest et de son PLQ
Dans le dossier de M. Jacques Duchesneau.
M. Jacques Duchesneau Bravo. M. Jean Charest Chou.
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Article #2 : Les étudiants et Mme Line Beauchamp
« « de la chair » » à élections.
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Article #3 : Le Toit de la corruption en Appel d’offres depuis
10 ans en mode machination libérale.
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Article #4 : La Commission Charbonneau doit enquêter le Toit du Stade,
le 5ième Toit, en soumission depuis 10 ans !
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Article #5 : 38ième Anniversaire de la corruption dans le Parc Olympique.
Le Toit du Stade : Impasse au sommet – le PLQ est dans le coup.
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Article #6 : Le rôle des partis politiques dans
l’Histoire du Stade.
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Article #7 : Beaucoup plus que l’effondrement d’un paralume.
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Article #8 : L’Amphithéâtre de Québec.
Je vous plains M. Labaume. Bonne chance M. Péladeau.
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Article #9 : Mon souhait le plus sincère.
Qu’un JEAN DRAPEAU 2012 se lève au Québec !